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9 Septembre 2013
L'occident se donne des chefs depuis des décennies maintenant selon des critères qui n'ont plus grand chose à voir avec ceux naguère encore admis pour la fonction suprême dans les grandes nations : la solidité nerveuse, le sens de l'intérêt général, en premier lieu pour leur pays, la primauté accordée au bien commun sur les intérêts particuliers, le sacrifice de leur popularité, et, même de leurs personnes, sur le théâtralisme et l'hystérisation de leur jeu politique.
Obama et Hollande, en France, sont bien la caractérisation de cette dérive mortelle pour notre civilisation, si elle devait durer.
L'un et l'autre ont été portés au pouvoir pour des raisons extérieures à la grande politique. Ils incarnent aux yeux d'un public abruti par la « moraline » distillée par des « grands » médias, qui sont devenus « les choses » de grands groupes anonymes, notamment financiers, pour qui « l'humanisme » n'a jamais été autre chose qu'un mot vide de sens, ou plutôt un trompe l'oeil à destination des niais.
Obama est un bel homme, et aussi un noir. Rien à redire. A condition de préciser que la beauté, ni la couleur n'ont jamais fait la valeur d'un homme, ni sur le plan moral, ni sur le plan politique.
Hollande, la beauté en moins, et d'une autre couleur, n'en a pas moins été élu ( contre toute attente, et d'abord de celle des ses « amis » politiques ) selon les mêmes critères, du pseudo « humanisme » cher à la franc-maçonnerie, et de la société multiculturelle, si propice à l'éradication de tous les enracinements et concrétions historiques ( familles, nations, traditions enracinées, qui s'opposent à la manipulation tous azimuts des hommes transformés en foule d'individus solitaires et désarmés, manipulables à merci par la TV, et des légions de fonctionnaires formatés, qu'on appelait jadis des professeurs.
Il suffit de se souvenir du soir de l'élection d'Hollande en mai 2012, et de l'étrange floraison, sur la Place de la Bastille, de drapeaux de toutes sortes sauf français.
Ces deux politiciens sans envergure, actuellement en pleine déconfiture ( les « maîtres » avaient, dans leur hâte à ouvrir la voie de leur cupidité au moyen orient, préjugés du degré de décomposition des sociétés réelles ), se voient opposer de plus en plus de faits qui démentent la grossière propagande par laquelle ils prétendaient nous transformer ( au nom des droits de l'homme ) en petits soldats de leur cupidité.
En voici un autre. Sans doute pas le dernier.
Le Scrutateur.