Le Scrutateur va prochainement publier un article sur l'immigrationisme, c'est-à-dire l'idéologie qui, en jouant sur les bon sentiments des Français
( traditionnellement ouverts à l'étranger, particulièrement à l'accueil aux réfugiés politiques, dans l'esprit chrétien hérité de son histoire ), cherche à dissoudre la France, réalité historique
en un conglomérat de peuples hétérogènes, lourd de menaces pour l'unité nationale, et riche en potentialités de guerres civiles entre peuples de traditions et cultures différentes, et qui n'ont
rien à faire de la France réelle, celle que nous aimons.
En attendant, voici deux documents sur l'affaire en cours, dont le nom de Léonarda est devenu le symbole. Symbole d'une idéologie de décadence
gaucharde. LS.
( I ) : Leonarda: le père aurait-il menti ?
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/17/97001-20131017FILWWW00500-leonarda-le-pere-aurait-il-menti.php
Le père de Leonarda Dibrani, la collégienne expulsée de France avec sa
famille, a déclaré aujourd'hui avoir menti aux autorités françaises sur l'origine kosovare de sa famille afin d'obtenir l'asile.
"Toute la famille, ma femme et mes enfants, sont nés en Italie. Ils n'ont rien à voir avec le Kosovo", a raconté Reshat Dibrani. "Ils sont nés en Italie et puis nous sommes venus en France. Nous
avons menti aux autorités en disant que nous étions du Kosovo."
"Nous avons demandé l'asile en France et nous ne pouvions pas montrer nos papiers italiens. Nous avons dit que nous avions fui le Kosovo", ajoute l'homme de 43 ans.
Reshat Dibrani serait bien né au Kosovo mais dit l'avoir quitté en 1973 ou 1974 et être prêt éventuellement à y rester, mais pas ses enfants. "Les enfants ont peur parce qu'ils ne connaissent pas
la langue, ici. Ils pleurent nuit et jour. Ils disent, 'Papa, qu'est-ce que tu nous as fait ?' Je leur dit que ce n'est pas ma faute mais celle de la France", déclare-t-il.
"Ici, je ne parle pas la langue, je ne la comprends pas, j'ai peur que les gens se moquent de moi", raconte Leonarda. "Ma maison est en France. En France, j'ai tout, mes amis, mon petit ami, mes
professeurs, mon école, mon avenir [...] Je n'ai rien ici. Je ne sais pas pourquoi je suis au Kosovo."
Le gouvernement kosovar verse une aide mensuelle de 150 euros pour leur hébergement au deuxième étage d'une maisonnette dans un quartier populaire de Mitrovica, ville du nord du pays.
"Nous ne savons pas quoi faire avec cette famille. Elle n'est pas du Kosovo", confie un responsable sous couvert de l'anonymat.
( II ) La pétition de l'UNI :
La loi doit être la même pour tous ... même pour
Léonarda !
Signez la pétition contre le retour de Leonarda et pour le
respect du droit
|
Le 19 octobre, François Hollande a confirmé que l’expulsion de Léonarda et de sa famille avait été réalisée selon
les dispositions prévues par la loi. Aucune erreur n’a été commise par les forces de l’ordre qui ont interpellé cette famille de clandestins.
Cette famille, dont le père était prêt à tout pour obtenir des papiers et les avantages qu’il espérait en retirer (cf. extrait ci-dessous), avait, en effet, épuisé toutes les
voies de recours. À chaque fois, il a été constaté que les conditions, notamment d’intégration, pour obtenir le droit de rester en France n’étaient pas réunies.
Malgré la loi, malgré les jugements qui plaidaient tous pour l’expulsion, François Hollande a décidé d’offrir un passe-droit à
Léonarda.
En l’autorisant à revenir en France en dehors de tout cadre légal, François Hollande trahit sa fonction qui devrait être de garantir le respect de nos institutions et de notre
droit.
De plus, François Hollande ment aux Français en prétendant que seule Léonarda
pourrait revenir en France. Les conventions internationales, interdisant de séparer une enfant de ses parents, obligeraient notre pays à accueillir toute la famille en cas de
retour de la collégienne.
- Parce que la loi doit s’appliquer de la même façon pour
tous,
- Parce que la lutte contre l’immigration clandestine nécessite de la fermeté,
- Parce que nous refusons cette politique de
passe-droit.
- Signez la pétition contre le retour de Léonarda et de sa famille et pour le respect du droit
français.
|
|
Extrait du rapport de l'inspection générale
|
Le rapport rappelle que le comportement du père ne dénotait pas « une réelle volonté de s'intégrer à la société française » en
s'appuyant sur des faits précis :
- Absence de recherche sérieuse d'emploi : le père n'a jamais donné suite aux propositions d'embauche et ne cachait pas attendre
le versement des prestations familiales qui suivraient sa régularisation pour assurer un revenu à sa famille ;
- Absences répétées des enfants à l'école (pour Leonarda : 66 demi-journées en 6ème, 31 en 5ème, 78 en 4ème et 21 depuis le début
de cette année).
Consulter le rapport
|
Soutenez-nous dans cette campagne
|
Depuis plusieurs jours, les militants de l'UNI se mobilisent contre les blocages de lycées commandités par l'extrême-gauche pour
soutenir Leonarda et demander des papiers pour tous les clandestins.
Désormais, c'est également contre la décison inique de François
Hollande d'accorder un passe-droit à Leonarda et sa famille que nous devons nous mobiliser. Il est temps de nous mobiliser pour
nous faire entendre. La loi doit être la même pour tous !
Vous pouvez nous aider en diffusant autour de vous notre pétition. Vous pouvez également nous aider en faisant un don à l'UNI afin de financer l'impression de pétitions, d'affiches et d'autocollants.
Nous ne disposons d'aucune aide, si ce n'est la vôtre.
Vous pouvez nous envoyer vos dons via paypal, ou également
par chèque à l'ordre de l'UNI à l'adresse suivante :
UNI - 34 rue Emile Landrin, 92100 Boulogne-Billancourt
Vous recevrez un reçu fiscal vous permettant de déduire 66 % du montant de votre don de vos impôts.
Merci encore pour votre aide et votre mobilisation.
|
Désabonnement
|
Téléchargez
la pétition
|
|