16 Février 2014
Mon état de santé, comme expliqué hier, ne me permet pas actuellement d'être aussi présent que d'habitude au poste de Scrutateur.
Toutefois, je ne peux pas, même brièvement rester sans adresser à mes amis, même un court message, une information concernant le combat intellectuel, spirituel que nous livrons ici.
C'est un lecteur qui m'en fournit ce soir la matière.
Il s'agit d'un extrait d'une lettre adressée par Jules Ferry, aux instituteurs de France en …..1883. Le but poursuivi par Ferry était le même que celui poursuivi par Peillon.
On jugera de la différence de ton entre les deux hommes. En 1883, l'existence de moeurs chrétiennes encore profondément enracinés, contraignaient un Ferry à un minimum de politesse et de tolérance au moins feinte.
Aujourd'hui Vincent Peillon est tout arrogance, et mériterait une bonne paire de gifles. ( Voir le lien plus bas ).
LS.
« Dans une lettre envoyée en 1883 aux instituteurs de France par Jules Ferry, celui-là même que François Hollande a salué aux premiers jours de son quinquennat, et que Vincent Peillon n’a de cesse de citer à tort et à travers, il écrivait : « Au moment de proposer à vos élèves un précepte, une maxime quelconque, demandez-vous s’il se trouve à votre connaissance un seul honnête homme qui puisse être froissé de ce que vous allez dire. Demandez-vous si un père de famille, je dis un seul, présent à votre classe et vous écoutant, pourrait, de bonne foi, refuser son assentiment à ce qu’il entendrait dire. Si oui, abstenez-vous de le dire. »
Les imprudences de Vincent Peillon.