21 Novembre 2013
La France est en état de péril grave. L'équipe au pouvoir n'est pas un parti de gauche au sens où on l'entend dans le grand public, c'est-à-dire, « un parti du mouvement » opposé à la droite, un parti conservateur. Pour le citoyen « normal », la conservation et le mouvement sont également acceptables. Ils sont destinés à l'alternance. Un coup à droite, quand on en a assez du mouvement qui dégénère en bougeotte, en frénésie, en mouvement pour le mouvement.
Un coup à gauche quand la conservation devient immobilisme, jouissance des biens publics au service d'une minorité qui ignorerait le bien commun.
La « gauche » au pouvoir actuellement, en France, est révolutionnaire. Et la révolution n'est pas nécessairement la violence dans la rue pour forcer des chevilles rondes à pénétrer dans des trous carrés, même si cette violence là, d'extrême gauche, existe avec les Besancenot, les Mélenchon, et en Guadeloupe un Domota.
La révolution est une idéologie, qui tend à s'imposer aussi, insidieusement, dans les esprits, par tous les artifices de la propagande, parfois fort subtils, de l'éducation ( voir le projet de Peillon, le ministre de « l'éducation » qui se propose rien moins, et il le dit publiquement, que d'extirper le catholicisme de l'esprit des Français, par le moyen de l'école, et de professeurs formatés pour cela ).
La loi sur le mariage pour tous, par exemple, n'est pas une loi comme une autre. Elle s'attaque aux fondements même, si j'ose dire, de la société française, en se bardant de prétextes apparemment généreux. Cette loi dont le rapporteur ( « rapporteuse », comme il faudrait dire en newslangue, c'est autre chose, tous les écoliers le savent...pour l'instant ), fut Christiane Taubira, est du même tabac.
Face à cette entreprise radicale ( même sous sa forme édulcorée ) il faut s'armer, et pour cela penser, comprendre, s'organiser.
Le document ci-après s'adresse d'abord à nos lecteurs de la métropole, qui peuvent se rendre plus facilement aux invitations sur le territoire européen de la nation. Mais, nos lecteurs antillais, ici et en Martinique ou en Guyane, peuvent se tenir informés en mettant parmi leurs favoris, le site internet de l'Association Objection !
Le moment, en effet, est venu de penser l'Objection de conscience, de savoir ce que c'est, et comment la pratiquer.
Un seul mot à l'ordre du jour : RESISTANCE !
Le Scrutateur.
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Pour vous inscrire et/ou faire circuler largement, surtout auprès des professionnels de santé que vous connaissez, auprès des maires et adjoints réfractaires, auprès des notaires, auprès des parents et des professeurs pour l'organisation d'une résistance dans le monde scolaire.
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