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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Heureusement pour Prévost-Desprez, elle vit en France, pas au Japon.

la-juge-isabelle-prevost-desprez-10528876cpmam_1715.jpg ( la juge Isabelle Prévost-Desprez, qui heureusement pour elle, n'est pas soumise aux coutumes japonaises. Voir plus bas ).

 

Et de deux ! « la greffière ne confirme pas les propos de la juge » dit, en termes franchement veloutés l'AFP.

Autrement dit, la greffière confirme que ce faux témoin de présumé juge Prévost-Desprez cherche à manipuler l'opinion à partir de ses inventions, c'est-à-dire de ses mensonges.

Bizarre attitude de celle qui croit peut-être, à partir d'un faux témoignage, rendre la justice au nom du peuple français. Ce ne serait pas la première fois : en 1792 - 93 -94 et après, ce fut plus souvent que rarement le cas

Bizarre, déconcertant, effrayant, même. Mais c'est sans doute auprès des morphopsychologues qu'il faut chercher une explication sérieuse quant à l'étrange attitude de " la juge" Prévost-Desprez

Bettencourt : la greffière ne confirme pas les propos de la juge
(AFP) – Il y a 2 heures  
BORDEAUX — La greffière de la juge de Nanterre Isabelle Prévost-Desprez a été entendue vendredi par la police à la demande des juges de Bordeaux en charge de l'affaire Bettencourt, assure dimanche le JDD, et n'a pas confirmé avoir reçu des confidences sur des remises d'espèces à Nicolas Sarkozy chez la milliardaire.
Dans "Sarko m'a tuer" (Stock), le livre des journalistes du Monde Fabrice Lhomme et Gérard Davet paru mercredi, Mme Prévost-Desprez affirme que l'ex-infirmière de Liliane Bettencourt a "confié à (sa) greffière, après son audition par (elle): +J'ai vu des remises d'espèces à Sarkozy mais je ne pouvais le dire sur procès-verbal+".
Selon le JDD, la greffière a été entendue dès vendredi par la police. Elle a reconnu engager parfois de petites conversations avec des personnes auditionnées par la juge quand elle les "raccompagne à l'ascenseur", mais n'avoir "aucun souvenir" de la scène concernant l'infirmière.
Le JDD affirme par ailleurs que les magistrats bordelais veulent entendre eux-mêmes le témoignage de Mme Prévost-Desprez dans cette affaire.
Il n'a pas été possible de confirmer la teneur de cet article dimanche. Le procureur de Bordeaux Claude Laplaud a fait indiquer que "pour l'heure, il n'y avait pas de communication prévue" sur ces éléments.
L'ex-infirmière a déjà affirmé à l'hebdomadaire Marianne n'avoir "pas parlé (à la juge ou à la greffière, ndlr) de remises d'enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d'autre", tout en racontant aussi avoir été la cible de "menaces de mort" dans cette "affaire sensible".
Fabrice Lhomme avait estimé jeudi auprès de l'AFP que "si certains voient un démenti" dans les propos de l'ex-infirmière, lui "y voit plutôt une confirmation" du "climat de peur mis en place pour dissuader les gens de parler".
Isabelle Prévost-Desprez fait également état dans "Sarko m'a tuer" d'un deuxième témoin affirmant avoir assisté à des remises d'argent à Nicolas Sarkozy, sans l'identifier. Cette personne "sera sûrement identifiée dans le cadre de la procédure judiciaire en cours à Bordeaux", a estimé M. Lhomme.
Copyright © 2011 AFP. Tous droits réservés. 
Au Japon, quelqu'un qui se serait déshonoré par une manoeuvre déloyale ou malhonnête et qui se serait fait "pincer" se ferait immédiatement "seppuku" pour laver la honte déversée sur sa famille et sur le corps auquel cette personne appartient. En France, il se crée des Comités de soutien. Le coq gaulois ignore le respect humain, on dirait. En général, en France, les pourvoyeurs d'erreur, d'injustice ou de scandale, quand ils appartiennent à la magistrature, encourent... une sanction disciplinaire - ha ! ha ! ha ! - puis une autre affectation sans la moindre avarie pour leurs confortables émoluments, privilèges et retraites. Cela ne les empêche pas de chercher à salir les autres en usant du poids de leur fonction, dans quelque chose qui s'apparente - visiblement au sens propre du mot - à l'irresponsabilité. L'outrage à magistrat est une épée de Damoclès bien trop terrifiante pour ajouter quoi que ce soit à ce tragique constat : quand parole de magistat(e) égale pipeau, que vaut la justice d'un pays ?
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C
<br /> <br /> Celle-là est aussi belle que E. Joly, décidément la magistrature n'est plus ce qu'elle était, et je me demande même si ce n'est pas aujourd'hui un repaire de brigands...<br /> <br /> <br /> <br />
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