28 Octobre 2012
( Le sourire contrit d'Harlem Désir, face à sa redoutable " amie", la Martine ).
Harlem désir a été élu premier secrétaire du PS. Nous l'avons entendu ce midi dans un discours exalté à la sauce la plus épicée, digne de l'André Malraux des derniers jours essoufflé et hoquetant ( la vieillesse est un naufrage, disait de Gaulle ).
Harlem, jouissait de lui-même à l'évidence. Qu'il le fasse vite et bien, car, entouré des amis que nous lui avons vus, à coup sûr, c'est demain que va commencer pour lui le temps des emmerdes.
( Eblouissant de niaiserie, Ayrault salue l'élection de M. Désir : " Harlem akbar ).
Dans son immortelle bafouille, il n'a ni surpris, ni déçu, les observateurs, même distraits.
S'en prenant à Fillon, à Copé, à l'UMP, il s'est montré tel qu'en lui-même, à la fois sommaire et frénétique.
"L'UMP, a t-il, en substance, éructé, se lepénise. Il se droitise. Nous ne lui permettrons pas de nuire à la France, à la fraternité, au grand élan de la diversité".
Ben Voyons! Se laisseront intimider les imbéciles qui le voudront.
Pour ma part, jamais inscrit à ce jour, dans un parti, quel qu'il soit, mais votant toujours, jamais jusqu'à présent pour le FN, mais me réservant le droit de le faire, je dis MERDRE! à M. Désir.
(La locution latine ultima ratio regum, traduite littéralement, signifie « [la force est] le dernier argument des rois » (du latin ultima : dernier ; ratio : raison, argument et regum : des rois)
Cette locution signifie que, lorsque tous les recours pacifiques et diplomatiques ont été épuisés et qu'il ne reste plus aucune solution raisonnable, on peut se résigner à utiliser la force pour imposer ses vues.
La formule "ultima ratio regum" était l'expression favorite du cardinal de Richelieu. Louis XIV reprit cette formule à son compte et la fit graver sur ses canons.)
Si le Front national fait des propositions qui me paraissent intéressantes pour la France, je voterai pour lui.
Marine Le Pen a obtenu les suffrages de près de 20% d'électeurs à l'élection présidentielle. Faut-il considérer ces électeurs là comme des non citoyens. Faut-il les exclure de la nation française?
Mais au nom de quel principe? Ce que nous propose M. Désir n'est rien moins que l'apartheid, contre lequel il prétendait s'insurger quand il avait cours en Afrique du sud.
Un apartheid moral et politique, mais un appartheid pire encore que l'autre puisqu'il englobe dans le rejet et l'exclusion les gens, non seulement pour leurs idées, mais aussi pour leur race, puisqu'à droite, celle de marine Le Pen, mais aussi celle de Sarkozy, Fillon, Copé, militent des gens de toutes couleurs, blacks, blancs, beurs.
M. Désir nous prend pour des niais.
A nous de leur prouver, à lui et ses "amis" qu'ils se trompent.
A bientôt Harlem !
Edouard Boulogne.