Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
28 Avril 2010
Guadeloupe : coup de blues? ou de rage?
( Mars, dieu de la
guerre).
( Un ami, que je connais, et qui est un combattant, m'envoie ce texte, tellement vrai et triste, que l'on peut interpréter comme un coup de blues, ou de ... rage. Moi j'incline vers la rage.
Qui de nous, s'il a conservé un certain sens des valeurs, et de l'honneur, ne peut être indigné par le spectacle que nous donnent tant de ceux qu'il est convenu d'appeler nos "responsables" dans la société civile, dans le monde politique, et même dans l'Eglise?
Pourtant, faut-il baisser les bras? Tout mon être y répugne, même si la tentation m'effleure parfois.
Devais-je publier ce texte que mon ami qualifie lui-même comme il convient?
Devoir? Non. Mais opportunité? Oui.
Le découragement des combattants est la victoire du diable. Auguste Comte a-t-il raison d'écrire à Clothilde de Vaux " Il est indigne d'une grande âme de communiquer l'inquiétude qu'elle ressent"? Cela dépend du moment, et à qui. Mais nous sommes des hommes. Nous confier à qui peut nous comprendre est aussi un moyen de se soulager et de ...se reprendre.
Mais j'aime beaucoup cette autre pensée d'Alexis Carrel : " l'avenir est à ceux qui ne sont pas désabusés".
Et je me remémore cette note d'un général de Verdun ( vous savez, cette terrible bataille de la grande guerre, vous savez la "der des ders"... la première guerre mondiale) que j'avais inscrite sur un de mes cahiers de notes d'adolescent, il y a quelque temps : "L'inquiétude me dévore, l'angoisse me torture, et pourtant si je veux conserver mon prestige, faire rayonner la confiance, il me faut offrir aux yeux inquiets qui m'interrogent à la dérobée un masque impassible. Mon geste doit rester sobre, ma voix ferme, ma pensée lucide. Je ne connais pas d'épreuve plus dure, et aussi plus décisive, pour la volonté du chef".
Telle est la pensée que je dédie à mon ami, le combatant, et que ...je me murmure à moi-même de temps à autre. Le scrutateur).
La génération Mitterrand a engendré la génération Chirac qui a
> > engendré la génération Sarkozy...
> >
> > Et la génération Mitterrand a institué le cadre d'un désordre que
> > seule la haine de la France et des Français pouvait inspirer : elle
> > a donné à la haine le pouvoir de haïr sans retenue,
> >
> > Et la génération Chirac, se sentant haïe a voulu haïr à son tour
> > pour être aimée de ceux qui haïssent : elle a renforcé le pouvoir de
> > la haine,
> >
> > Et la génération Sarkozy a constaté le pouvoir qu'avaient désormais
> > ceux qui haïssent : elle a décidé de haïr à son tour pour partager
> > le pouvoir entre gens qui haïssent,
> >
> > Et c'est ainsi que des gens de haine se sont hissés jusqu'aux plus
> > hauts sommets de l'État,
> >
> > Et c'est ainsi que la haine tient le pavé, et aussi le haut du pavé.
> >
> > Ainsi, la cité, sous l'influence de la gauche - plurielle, cela va
> > sans dire, tellement plurielle qu'il ne faut pas oublier d'y
> > associer l'UMP - a pris un tour carrément pluriel, puisque désormais
> > ce sont "les cités" qui donnent le ton.
> >
> > Et, comme d'habitude, le pouvoir exécutif se couche, le pouvoir
> > législatif se cache et le pouvoir judiciaire entérine : ceux qui ont
> > compris ça ont au moins remporté le tiercé... dans le désordre,
> >
> > Car pendant ce temps-là, la Halde, le CRAN, la Licra, le MRAP, SOS
> > Racisme et autres douceurs de l'esprit finissent le travail en
> > rajoutant de la haine à la haine.
> >
> > Pendant ce temps-là, toujours, chaque politique, dans l'oratoire de
> > son petit ego devenu grand, en rajoute une couche en espérant faire
> > des gravats le socle de sa propre statue de plus grand de tous les
> > mammamouchis de la diversité et de la solidarité,
> >
> > Et, comme d'habitude, le pouvoir exécutif se cache, le pouvoir
> > législatif se couche et le pouvoir judiciaire entérine,
> >
> > Et, comme d'habitude, le pouvoir exécutif se couche, le pouvoir
> > législatif entérine et le pouvoir judiciaire se cache,
> >
> > Et, comme d'habitude, le pouvoir exécutif entérine, le pouvoir
> > législatif se cache et le pouvoir judiciaire couche,
> >
> > Et, comme d'habitude, le pouvoir exécutif entérine, le pouvoir
> > législatif se couche et le pouvoir judiciaire se cache,
> >
> > Et, comme d'habitude, le pouvoir exécutif se cache, le pouvoir
> > législatif entérine et le pouvoir judiciaire se couche,
> >
> > Mortellement blessée, la France crève en public, mais c'est un
> > secret qu'il faut cacher : mieux, il faut entériner la bonne santé
> > et la bonne convivialité de la France de la diversité,
> >
> > Le pli avait été pris par la génération Mitterrand, habituée par
> > François le Mariole, aux chapelets de mensonges, tant pour ce qui
> > est des bulletins de santé et que pour tout le reste,
> >
> > Dont la Licra, le MRAP, SOS Racisme et autres douceurs de l'esprit,
> > qui, une fois rentrés dans la danse,
> >
> > Ont été rejoints par la Halde et le CRAN afin de parachever
> > l'ouvrage de cette génération Mitterrand,
> >
> > Si fidèle à la pensée de son géniteur, maître et étalon bigame,
> > expert aussi dans l'art de tricoter une maille à l"envers et une
> > maille à l'endroit, et se moquant de la France et les Français pour
> > en profiter jusqu'à l'ultime bouchée du gâteau.
> >
> > Le géniteur de la génération Chirac, lui, n'a-t-il pas juré de
> > méditer l'exemple de son fourbe prédécesseur ?
> >
> > Tant vont les animaux au zoo que le pouvoir exécutif, et le pouvoir
> > législatif, et le pouvoir judiciaire piétinent aujourd'hui le
> > cadavre de la France,
> >
> > Et gare à ceux qui oublient d'applaudir, ou de crier criant hourra !
> > hourra ! vive la diversité ! ou encore de dire : le progrès est bien
> > là, c'est l'oeuvre des générations Mitterrand, Chirac et Sarkozy, et
> > c'est leur fierté.