Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
2 Octobre 2013
Il y a encore quelques p'tits c...pour défendre Francoué et son écurie de pieds-plats. Sans oublier les margoulins. « Moi président » avait réussi à emporter la victoire d'une courte tête, dans une opinion publique subjuguée par une campagne médiatique, sans précédent, confite de haine, de mensonges, et et en proie à des slogans vicieux obsessionnels.
Mon gouvernement, disait l'âne, sera celui des gens honnêtes. Moyennant quoi Cahuzac se fait rétamer pour escroquerie, des fils et filles de ministres se font arrêter pour vols, braquages, et autres gentillesses, avec le soutien de leurs parents, au mépris de la justice, dont ceux-ci sont, parfois, institutionnellement, en charge.
Il faut libérer la France de cette maladie du socialisme, dont l'avatar hollandiste est peut-être pire encore, que ceux que nous avions connus.
C'est pourquoi je propose cet article qui est, en quelque sorte, une piqure de rappel.
Commençons par une anaphore, auprès de laquelle, celle, même,de Camille, dans l'Horace de Corneille n'est que du pipi de chat.
Moi Président !!!!! : http://www.youtube.com/watch?v=53b-pBPvjmA
Et le bilan à ce jour d'octobre 2013 :http://www.youtube.com/watch?v=SY_84BW8mJM
Reste à expliquer le choix de l'illustration visuelle de cet article. Vous savez, lecteurs, ce que signifie lire, parler, interpréter au second degré. C'est dépasser le premier degré, l'apparence, pour découvrir, derrière l'apparence, la réalité qui se cache, ou...que l'on vous cache.
Quand Gustave Flaubert écrit "qu'est Bourgeois celui qui pense bassement », on devine que ce n'est pas la condition bourgeoise ( Flaubert est lui même de ce milieu social là ) qu'incrimine l'auteur de madame Bovary, mais un type psychologique et moral, fourni par ce milieu. Et à ce compte, des bouseux, des ouvriers, des aristocrates même, peuvent devenir des « bourgeois" qui s'ignorent ( les guillemets indiquent la passage au second degré ), tandis que tel « bourgeois » ( par sa condition sociale ) peut penser très hautement.
Ainsi en est-il pour les notaires de Jacques Brel. J'imagine que Brel, un rien provocateur, ce qui le rend si sympathique, n'a rien contre chaque notaire en particulier. Mais le notariat est une profession sociale éminente, qui voue les membres de la corporation à une certaine notoriété, leur procure, en général, une certaine aisance financière, laquelle représente un certain danger pour ses détenteurs, celui de se laisser abuser par sa notoriété, de confondre les apparences et la vraie valeur, de se croire, en vertu des apparences, des gens remarquables auxquelx tout serait dû, du seul fait de la cylindrée de leurs automobiles.
Une chanson révolutionnaire française du XIX ème siècle, dans la région lyonnaise, pour rabattre le caquet de certains membres du clergé qui, pour des raisons analogues, s'étaient quelque peu oubliés, clamait : Pour chanter Veni Creator, il faut une chasuble d'or » ( http://www.youtube.com/watch?v=Te2PpgGvxhs ).
Tout le clergé catholique ne s'en trouva pas pour autant disqualifié.
Mais il faut des provocateurs pour appeler certains charlatans, certains Tartuffes, au sens des réalités, et à une pudeur élémentaire.
Jacques Brel (type de chanteur comme on n'en voit plus guère sur les scènes françaises, où s'ébattent trop de freluquets asthmatiques,
et de fils (lles) à papa rémunérés par le ministère de l'inculture, Brel donc s'en est pris aux « bourgeois ». Il y en a, certes sur tous les
créneaux de l'échiquier politique. D'où vient donc, que je ( et pas le seul ) ne peux empêcher certains visages (….) de s 'imposer à moi, tous de gauche, de la gauche impudente et insupportablement "morale" qui impose présentement à la France,
son incurie et sa vésanie?
C'est pour ces gens là, à titre de symbole, que j'ai choisi de conclure cet article sur le bilan ( hélas provisoire ) du sieur Hollande, la chanson du grand Jacques; laquelle, in fine, donne la clef de l'illustration de l'article. ( http://www.youtube.com/watch?v=dCHi5apc1lQ ).
Et que j'ai choisi, en mon nom, et probablement avec votre complicité, de l'illustrer de l'image d'accroche, si hautement symbolique et jouissive, et d'une certaine façon, de l'autre image aussi, la deuxième, du même ordre.
Le Scrutateur.