3 Novembre 2013
Faut-il vraiment en rire? ( en...sourire? Peut-être ).
Ci-dessous, vous lirez un article rendant compte d'un fait, qui malheureusement ne peut pas être considéré comme divers, mais qui dénote le degré d'abardissement où se trouve déjà notre civilisation en proie à l'idéologie, qui est en train de détruire la France, mais dont celle-ci n'est pas ( faible consolation ! ) l'initiatrice, malgré les prétentions des Pierre Bergé et Djack Lang.
On peut en rire, évidemment. Mais ce n'est pas l'attitude que je préconise.
Pour deux raisons :
I ) Parce que certains (es ) de nos lecteurs pourraient en être blessés ( je suis sérieux. Il ne faut pas minimiser la fragilité de bien des gens aujourd'hui, sur la sensibilité desquels jouent les manipulateurs du Brave New World ), et je n'ai l'intention de blesser personne, Ce qui serait le cas si nous réagissions par un rire gras.
II ) Parce que le fait, « non-divers » que je vous ai communiqué, n'est qu'un des signes de la grande dérive des esprits, que connaissent les jeunes, et pas eux seulement. Etonnez vous après cela du déchainement de la violence, partout, et chez nous en Guadeloupe, quand tous les repères disparaissent.
Voici donc, d'abord l'article annoncé, ( il sera suivi d'un document sonore approprié ).
Un garçon «transgenre» accusé de harcèlement sexuel dans les toilettes des filles d’un lycée américain
Les lycéennes qui s’en plaignent menacées de poursuites pour incitation à la haine
Des parents d’élèves se sont adressés au Pacific Justice Institute (PJI) pour prendre la défense de leurs enfants face à l’indifférence des responsables de ce lycée de Florence au Colorado. Ceux-ci affirment qu’il n’y a eu aucun harcèlement et ils ont proposé aux filles qui ne souhaitent pas partager les toilettes avec cette nouvelle petite camarade équipée d’un pénis et de chromosomes XY de ne plus utiliser les toilettes et les vestiaires ! Les récalcitrantes auraient été menacées de poursuites pour incitation à la haine si elles continuent de protester contre la présence de ce garçon qui se fait appeler « Jane » et qui a décidé qu’à partir de cette rentrée scolaire il serait désormais une fille. Ses deux mamans le/la soutiennent dans sa quête délirante d’identité, car Jane Doe (Jane est son nouveau nom de fille) est le/la fils/fille de deux lesbiennes « mariées ». Comme quoi, être élevé par deux mamans ou deux papas c’est effectivement aussi bien voire mieux pour le développement de l’enfant, on nous l’a assez répété en France avec l’adoption pour les duos de même sexe.
Le Pacific Justice Institute est une organisation d’avocats à but non lucratif qui se spécialise dans la défense des libertés religieuses, des droits parentaux et autres droits et libertés civiques. Cette association conservatrice est basée en Californie où elle se bat actuellement contre une nouvelle loi qui prévoit, à l’instar du Colorado, d’obliger les écoles à autoriser l’utilisation des toilettes en fonction non pas du sexe physique des élèves mais du « genre » auquel les enfants s’identifient. Une pétition est en cours pour bloquer cette loi par référendum. Quant à l’État du Colorado, c’est en 2008 qu’il a adopté une loi interdisant toute discrimination fondée sur « l’orientation sexuelle ». Il semble désormais que le fait d’interdire à un garçon souhaitant être une fille l’accès aux toilettes du sexe opposé soit considéré par les autorités du Colorado comme une forme de discrimination. Ainsi, l’école primaire qui avait interdit au petit Coy Mathis d’utiliser les toilettes de ses petites camarades s’est vue contrainte récemment par les autorités de l’État de changer de politique. Ce sont les parents du petit Coy qui avaient porté plainte contre l’école.
Quant aux mères n° 1 et n° 2 de Jane Doe, elles réfutent les accusations de harcèlement portées à l’encontre de leur fils. Si l’affaire avait d’abord été reprise par de grands médias américains et internationaux, comme Fox News aux USA et le Daily Mail en Grande-Bretagne, certains (comme le Daily Mail) se sont rétractés après que des sites LGBT ont publié les déclarations de la responsable administrative de l’école selon laquelle il n’y aurait eu aucun harcèlement. Les sites LGBT ont alors crié à la fausse information mais le Pacific Justice Institute persiste, affirmant représenter plusieurs lycéennes et demandant que les droits de la majorité ne soient pas bafoués au nom de nouveaux droits d’une toute petite minorité.
Dans sa lettre envoyée le 10 octobre dernier au proviseur du lycée de Florence, le Pacific Justice Institute fait aussi remarquer que le garçon « transgenre » utilise à la fois les toilettes des filles et celles des garçons sans que l’école ne s’en inquiète : « Le conflit en cours a surgi après que des élèves, y compris des filles de première année de lycée [âge de la troisième en France, ndlr] ont rencontré un élève de sexe masculin dans les toilettes des filles. Cet élève ne s’identifie pas de manière cohérente à un genre ou un autre et il aurait prononcé des commentaires s’apparentant à du harcèlement sexuel envers les filles avec lesquels il souhaite partager les toilettes. [...] vous avez rencontré hier certaines élèves qui avaient signalé le problème et vous leur avez proposé d’éviter d’utiliser les vestiaires des filles et de n’utiliser que les toilettes du personnel qui sont éloignées de leurs salles de classes et qui ne sont pas ouvertes pendant les activités sportives auxquelles elles participent l’après-midi. »
Plus loin : « Les parents que nous représentons sont alarmés par l’attitude dédaigneuse des autorités du lycée et du district scolaire par rapport au droit constitutionnel de leurs élèves au respect de leur vie privée et de leur intimité. Ces familles veulent obtenir l’assurance que leurs filles mineures ne seront pas contraintes de partager des espaces intimes comme les toilettes et les vestiaires avec des garçons adolescents qui s’identifient peut-être à des filles mais qui sont, sur le plan anatomique, biologique et des chromosomes, de sexe masculin. Ils sont aussi très inquiets, et nous le sommes également, d’apprendre que le personnel de l’école a menacé d’infliger aux élèves des punitions allant d’accusations d’incitation à la haine à l’exclusion des activités sportives de l’école pour le seul fait d’avoir exprimé leurs demandes de respect de leur intimité… »
L’Amérique n’ayant jamais que dix ou vingt ans d’avance sur nous, il est bon de savoir à quels nouveaux problèmes les gens sont confrontés de l’autre côté de l’Atlantique pour mieux nous préparer à l’avenir radieux que nous concocte le socialisme du XXIe siècle.
Du même auteur :
> Les ravages de l’idéologie du genre : un petit garçon
américain «transgenre» à 6 ans !
> Communisme et nazisme, les deux branches radicales du
socialisme
Et voici le document sonore annoncé. ( il est l'oeuvre de quelqu'un que vous connaissez bien ).
Il exprime, non le rire gras et blessant que j'évoquais plus haut, mais entre le rire et le sourire, ce que j'appellerais le sourire délirant.
Rire et délire : http://www.youtube.com/watch?v=MHClDuXQMcA
Bien sûr, le tout avec le petit sourire en coin ( psc ), du Scrutateur!