1 Mars 2013
Le Salon Beige nous apprend que ceux qui veulent la transformation de l'homme en un pantin parfaitement despiritualisé, aux ordres des nouveaux « maîtres » du monde, mais persuadé qu'il est un être libre, libéré de toutes les « impostures » ( en particulier du culte rendu à l'Evangile et de l'appartenance catholique ) , que ceux-là donc, s'en prennent maintenant à mère Thérésa, de Calcuta.
Sans doute comme image de la femme « libérée » « ils » préfèrent nous proposer les Filipetti, les Taubira, les Cécile Duflot, et, cerise sur le gâteau, cette Super Nova de l'imbécillité satisfaite d'elle-même, la Roselyne Bachelot elle-même.
Bien évidemment, au-delà de la personne de mère Thérésa, c'est l'Eglise catholique qui est visée.
Cet acharnement visible, tangible, ostentatoire, n'est pas dû au hasard. L'Eglise les gène. Nous aurons l'occasion, dans un article prochain de dire le pourquoi de cette frénésie persécutrice. LS.
Et maintenant, on s'en prend à la bienheureuse Mère Térésa
Posted: 28 Feb 2013 01:14 AM PST
De la cathophobie à l'état pur : Un chercheur (quel titre!) s'en prend à Mère Térésa, une religieuse tellement reconnue de son vivant dans le monde entier qu'elle reçut le prix Nobel de la Paix, sans doute à une époque où ce même monde était empli d'imbéciles qui attendaient leur messie en la personne de ce chercheur. Celui-ci n'hésite pas aujourd'hui à prétendre remettre en cause la béatification de Mère Térésa!
L'hommage du vice à la vertu :
"Serge Larivée, chercheur du département de psychoéducation de l’Université de Montréal, remet en cause la béatification de Mère Teresa, obtenue en 2003 grâce au pape Jean-Paul II, dressant un portrait peu flatteur de la religieuse, entre argent sale, positions ultra-réactionnaires et miracle frelaté.
L’article intitulé "Les côtés ténébreux de Mère Teresa", qui va être publié dans la revue Studies in Religion au mois de mars, n'est pas à l'avantage de Mère Teresa. Les conclusions de Larivée et ses deux collègues se basent sur la lecture de 500 ouvrages évoquant la vie de la religieuse décédée en 1997 à Calcutta (Inde).
Grosso modo, Mère Teresa acceptait l’argent des dictateurs, ne voulait pas entendre parler de divorce ou d’avortement et laissait les malades souffrir dans ses institutions caritatives à l’hygiène douteuse.
Larivée confie à Lapresse.ca que "dans ses centres d'hospitalisations, les patients étaient laissés à eux-mêmes. Ils recevaient peu de soins palliatifs ou de médicaments pour soulager leurs douleurs, car pour Mère Teresa, souffrir rapprochait de Dieu". Il note également qu’elle "s'est opposée aux interruptions de grossesses des femmes bosniaques qui avaient été violées par des Serbes" (etc, etc.)..."
A lire également les quelques commentaires à cet article de lecteurs qui remettent l'individu à sa place :
"Il est intéressant de voir que toutes les personnes qui "témoignent" de soi-disant impostures de Mère Teresa n'ont jamais mis les pieds dans ses centres ... J'ai moi-même travaillé comme volontaire durant de longs mois dans le centre pour enfants et le mouroir de Calcutta ainsi que dans dfifférents centres à travers le monde et je peux attester que tous ces "faits" - non étayés d'ailleurs, ce qui n'est pas digne de chercheurs, - sont absolument faux.
Quant au commentaire qui précède prétendant que le mouroir était à qq ms d'un hopital qui lui aurait proposé des analgésiques qu'elle aurait refusé, c'est du délire total !Cette personne n'a jamais mis les pieds à Kalighat ! Il n'y a aucun hôpital dans les environs, et tous les médicaments utilisés étaient forcément offerts gratuitement puisque les soeurs ne vivent que de dons ; nous utilisions (et c'est toujours le cas) toujours des analgésiques pour tous les patients ; quelle stupidité de dire que mère Térésa trouvait que la douleur devait être acceptée pour se rapprocher de Dieu ! Pourquoi aurait-elle passé sa vie à créer des centres pour justement soulager toutes ces personnes !!Et en plus, au nom de quel Dieu leur aurait-elle demandé d'accepter une souffrance inutile ? Tous les malades qui sont presque exclusivement des intouchables sont hindous ou musulmans et la plupart ne savent même pas qu'ils sont accueillis par des chrétiens !! La première chose qu'on nous apprend au "mouroir", c'est de savoir comment accueillir et soigner les personnes selon leurs coryances (eau du gange pour les hindous, nourriture spéciale pour les musulmans etc ...)
Ces chercheurs et ces commentateurs, on les attend toujours à Calcutta : qu'ils prennent un tablier et viennent travailler au mouroir avant d'accuser sans rien savoir !"
ou encore :
"Mr Larivé, chercheur...LOL. tout est dit!! Facile de refaire l'histoire enfermé dans un bureau. Facile de critiquer avec sa mentalité d'occidental...!Combien de morts supplémentaires, de familles laissées dans un total désoeuvrement, combien d'enfants abondonés...?? Facile de critiquer... Messieurs, prenez vos batons de pélerins et essayez de faire un centième de ce qu'elle(s) font...Nous en reparlerons..."
Et cette question en conclusion qui résume tout :
"J'aime pas les branleurs qui critiquent depuis leur bureau des gens qui ont donné leur vie pour leur prochain. en même temps, il est vrai que certains aspects de l'action de mère térésa peuvent être critiqués (bien qu'ils n'effacent en rien ce qu'elle a fait de bien). Question pour M. Lariviste: pensez-vous que le monde serait un meilleur endroit s'il était empli de gens comme vous, ou de gens comme mère Teresa?"