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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Du Beau, du Neuf, du Fringuant, du...Jospin.

Lionel-Jospin portrait w858

( Non! Ce n'est pas la fin de mes vacances ( toujours le 16 août ). Non! Ce n'est pas la déclaration de la troisième guerre mondiale ( laquelle est en cours, sous une forme nouvelle..conquete-islamique.jpg.....). Non! La Martine n'est pas nommée premier ministre.....

La-Martine.jpg ( Boire un petit coip c'est agréaaable! Boire un petit coup c'est doux! mais... )

Mais j'interviens quand même au lendemain du défilé du 14 juillet 2012, qui, plutôt beau quant aux troupes, a quand même permis à Flanby quelques manifestations de sa splendide c.....ie. Et la lecture particulièrement ridicule d'un discours lamentablement idéologique, et anti français du sieur Gambetta ( il faudra quand même revenir sur cette perle de connerie ).

Au coeur de l'été, notre hivernage aux antilles, j'ai voulu marquer le coup au moment de cette bouffée de jeunesse et de nouveauté qu'est la nomination de Lyonnel Jospin, symbole de la chose et de la jeunesse par excellence, au poste de rénovateur de la morale ( sic ) et de la vie politique. Oui, je finirai par croire à l'humour, même involontaire de François ( eeuuuh!!! ), même s'il s'exerce, à l'insu de son plein gré ( nous sommes au milieu du Tour de France cycliste! ) contre ce qu'il prétend défendre.

Acceptez, chers lecteurs cette petite bouffée d'humeur scrutatorienne, en attendant le 16 août ( ou peut-être avant, allez savoir ).

Le scrutateur.

 

Moi, président de la République, je ferai du bla bla bla une arme de destruction massive

 

Après avoir passé son temps à dénoncer l'ordre moral (et imposé ses concubinages à l'appréciation morale de millions de Français), voici Groland qui se lance dans la "moralisation" de la vie politique. Ouaf ! ouaf ! ouaf ! 

 

Après avoir institué l'abus de finances publiques en octroyant à sa concubine - SDF à l'Élysée - un cabinet et le personnel rémunéré sur les fonds publics qui va avec, alors que cette dame - en dehors des draps, des bras et des moments privés de M. le président de la République française - n'a rien à voir avec les institutions (pas seulement celle du mariage) et encore moins avec la République (faut pas confondre privé et public, comme dirait l'autre !), une telle initiative ne devrait pas manquer pas de surprendre ceux qui ont pu observer que l'ego grolandais (Moi, président de la République) était aussi enflé que la mine du titulaire revêtant le masque de Mussolini pour parader en campagne électorale, martial et conquérant, flanquée de son attachée de presse concubinaire.

 

Il faut dire que cette annonce trahi-comique tombe à pic, deux cent vingt-deux ans après le si révélateur "Par pitié, ne me faites pas rire" murmuré par Talleyrand à L'ignoble La Fayette en pleine imposture "nationale" et religieuse, lorsque l'un célébrait la solennité de la commémoration et que l'autre faisait office d'enfant de choeur, rôle dans lequel il a toujours excellé.

 

Le retour à la IIIème République (avec tous les sous-entendus relatifs à la "connaissance" du Président) se confirme par la création d'un chapelet de commission - dans l'esprit de Clémenceau qui avait observé qu'en France, pour enterrer un problème, il n'y avait de meilleure solution que de créer une commission. Celle-ci a au moins le pouvoir de déterrer les morts (y compris les morts par suicide), tout en montrant ce qu'il faut penser des déclarations - en direct et à la télé - des socialistes. Rappelons-nous que Lionel Jospin, le ténor de cette Commission de moralisation et de rénovation de la vie politique avait très solennellement fait part au Français de son retrait définitif de la vie politique. Eh bien ! pour ravigoter celle-ci, Groland désigne celui qui, précisément, avait fait ses adieux à la scène politique de la manière la moins équivoque qui soit. Au moins, on peut dire qu'en terme de rénovation, Marianne est servie.

 

Pour ce qui est de la moralisation, qui va-t-on chercher dans les poubelles de l'UMP ? Roselyne Bachelot, groupie du Pacs, Madone des laboratoires pharmaceutiques et ministre de la santé et de la vaccination, créature improbable de Jacques Chirac aussi bien que de Nicolas Sarkozy ( qui a quand même, au milieu de bien bonnes choses, a quand même commis ,quelques erreurs!!! ).

7_roselyne-bachelot.jpg ( "Aie confiance, crois en moi"! ). 

 

 

Rien que du neuf et de l'hyper-moral. Décidément, Marianne est servie.

 

http://elections.lefigaro.fr/presidentielle-2012/2012/07/14/01039-20120714ARTFIG00352-francois-hollande-remet-lionel-jospin-dans-le-bain.php



François Hollande remet Lionel Jospin dans le bain

Par AFP, AP, Reuters AgencesMis à jour le 15/07/2012 à 12:35 | publié le 14/07/2012 à 20:17 

Lionel Jospin, le 4 juillet.
Lionel Jospin, le 4 juillet. Crédits photo : BERTRAND GUAY/AFP

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Recommander1

Le président de la République a décidé de confier la présidence d'une commission sur la moralisation et la rénovation de la vie politique à l'ancien premier ministre.

François Hollande a rendu hommage samedi à Lionel Jospin, son mentor d'hier, en lui confiant la présidence d'une commission sur la moralisation et la rénovation de la vie politique, dix ans après son échec à la présidentielle. «Il y a des règles qui sont demandées parce que nous sommes dans une période difficile et qu'il y a une exigence de moralisation, de rénovation», a déclaré le président lors de son interview télévisée du 14 Juillet. «Donc je vais proposer une commission, dans un délai très court, qui sera présidée par un homme incontestable pour son intégrité», Lionel Jospin, a poursuivi le chef de l'État.

En deux phrases, François Hollande a remis dans le bain de la vie politique l'ex-premier ministre. Une manière d'honorer celui qui lui avait confié les rênes du PS en 1997, après la victoire des socialistes aux législatives anticipées de cette année-là. À cette époque, l'homme fort, le vainqueur, c'était Lionel Jospin, lui qui durant cinq ans à Matignon s'est affronté au président d'alors, Jacques Chirac. Jusqu'au 21 avril 2002 et le fracas de son élimination du second tour de la présidentielle.

Un mentor tardif

S'en était suivie une retraite de près de dix ans, jusqu'à la campagne présidentielle de cette année. Accompagné de son épouse Sylviane Agacinski, sourire large aux lèvres, Lionel Jospin a suivi pas à pas François Hollande dans son ascension vers l'Élysée. «L'austère qui se marre», comme ce protestant s'était défini lorsqu'il était à Matignon, a assisté à tous les meetings importants du futur président jusqu'à la victoire fêtée le 6 mai place de la Bastille.

Pourtant, Lionel Jospin n'était pas à l'origine le mentor de François Hollande, plus proche de Jacques Delors. Mais, les cinq années passées pour le premier à Matignon et le second rue de Solferino ont resserré leurs liens. «Nous avons appris à nous connaître, nous apprécier comme amis, mais surtout à découvrir qu'avec des personnalités différentes, et par des cheminements parfois différents, nous aboutissions souvent aux mêmes conclusions politiques», expliquait récemment l'ex-premier ministre.

Christian Jacob raille la «sortie du placard» de Jospin

Lionel Jospin n'exerce plus aucun mandat électif, ni aucune fonction au sein du PS, mais depuis plusieurs années, il ne s'est pas privé d'intervenir dans les débats politiques. Il avait ainsi envisagé de présenter sa candidature en 2007, lorsque le PS se cherchait un candidat, avant d'y renoncer. Cet épisode a éloigné un temps les deux hommes, Lionel Jospin considérant que François Hollande n'avait pas fait tout son possible, à ses yeux, pour lui ouvrir la voie de la candidature et écarter Ségolène Royal. Après l'élection de Nicolas Sarkozy, il n'avait pas ménagé ses critiques envers la façon dont Ségolène Royal avait mené campagne, puis à maintes reprises éreinté la politique du chef de l'État.

Avec la présidence de cette commission sur la moralisation de la vie politique, Lionel Jospin devient, à 75 ans, acteur et non plus spectateur. Certes, sur ce sujet, des travaux ont été déjà réalisés. «Sortir Jospin du placard pour moderniser la vie politique, on croit rêver!», s'est exclamé le chef de file des députés UMP, Christian Jacob. La commission, selon François Hollande, sera chargée de faire «des propositions pour le non-cumul des mandats (...) le financement des campagnes, les modes de scrutin» et d'élaborer une «charte éthique», conformément aux engagements pris durant sa campagne présidentielle.

 

 

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D
<br /> Regardez ca :<br /> <br /> <br /> " Je ne pense pas que nous vivions en démocratie. Je pense que nous avons une « ineptocratie », c’est à dire un système de gouvernement où les moins capables de diriger le pays sont élus<br /> par les moins capables de produire quoi que ce soit. Où les membres de la société les moins capables de subvenir à leurs besoin et de réussir dans la vie sont récompensés par des biens<br /> et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d’un nombre de producteurs en constante diminution."<br /> <br /> <br /> http://www.dreuz.info/2012/07/lineptocratie-francaise/<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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