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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Domota ou l'aedes Aegypti : Qui veut détruire le tourisme aux Antilles française?

Domota ou l'Aedes Aegypti? qui veut détruire le tourisme aux antilles française?

 

aedes_aegypti.jpg ( L' Aedes Aegypti).

 

( Une lectrice nous envoie ce document édifiant. Domota ou l'Aedes Aegypti? Les deux, sans doute. L'alliance des cafards).

 

domota.jpg ( Présentation inutile ) .

 

 

Bonjour Monsieur BOULOGNE !

 

Il es possible que « j’exagère » dans mon approche de l’information… Je m’en remets à vous.

Cette photo aujourd’hui sur le Figaro et le texte qui suit comme les autres m’interpellent.

L’objectif est le préparer les touristes en fin d’année à annuler la destination des DOM ?

 

Cette photo est « un peu hors DOM.. » il y aurait comme une note « Afrique du Sud ». Le patient amaigri, attaché, noir, deux internes bien blancs…

Je serai curieuse de savoir comment une personne de l’hexagone, qui ne connait pas les DOM, perçoit cette photo.

Cela fait plusieurs jours que l’on entend aux informations de « France-Inter » et autres, que le Gouvernement

Mobilise l’armée ….. 40 militaires  en Martinique…  et en Guadeloupe combien ? 45 ? Ce n’est pas mobiliser l’armée mais

Mettre quelques militaires à contribution,  ils peuvent être utiles  en attendant la prochaine « guerre » plutôt que de passer la journée à cirer leurs godillots !

 

DOMOTA a du souci à se faire,  ce n’est pas lui qui fera la Une des journaux et baisser la fréquentation touristique de  l’île mais

Bien l’Aedes Aegypti !....

 

Bien à vous,

 

XX

 

 

Un patient souffrant de la dengue au CHU de Fort-de-France le 17 août 2010. Crédits photo : AFP

INFOGRAPHIE - La Guadeloupe et la Martinique sont frappées par la plus importante épidémie de la décennie. Vendredi, le gouvernement a décidé de mobiliser l'armée afin d'intensifier la lutte contre les principaux vecteurs de la maladie: les moustiques.

http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif

Rien ne semble pouvoir arrêter l'épidémie de dengue qui frappe les Antilles. Quelque 33.000 cas suspects ont été dénombrés en Guadeloupe depuis fin 2009 et 25.600 en Martinique depuis février (cf infographies ci-dessous). La maladie aurait déjà causé la mort de neuf personnes, et serait indirectement liée au décès de cinq autres. Et le pic épidémique n'est pas encore atteint, prévient l'Institut de veille sanitaire (IVS). La deuxième semaine d'août, il se déclarait encore 4160 nouveaux cas en Martinique et 3720 en Guadeloupe. Le ministère de la santé a donc décidé de faire appel à l'armée pour tenter d'enrayer la progression irrésistible de « la grippe tropicale ».

Le moustique Aedes Aegypti est le vecteur le plus commun de la dengue.
Le moustique Aedes Aegypti est le vecteur le plus commun de la dengue.

Puisqu'il n'existe aucun traitement spécifique, ni aucun vaccin, les autorités doivent s'en prendre directement au vecteur de la maladie: le moustique Aedes. Les deux principaux leviers sont les campagnes publiques de prévention (supprimer les eaux stagnantes domestiques, utiliser des anti-moustiques, porter des vêtements amples et couvrants, dormir même pour la sieste sous une moustiquaire) et la démoustication massive des lieux de reproduction (marais, étangs, déchetteries).

Le ministère a donc «attribué des financements complémentaires aux agences régionales de santé (ARS) afin de poursuivre et d'intensifier les campagnes de sensibilisation» et fait appel à l'armée qui «va permettre d'avoir plus de moyens techniques et d'intervenir là où c'est difficile», explique Christian Ursullet, directeur général de l'ARS martiniquaise. Quarante militaires ont ainsi été mobilisés en Martinique. Ils devraient commencer par exterminer les gîtes larvaires situés dans les écoles avant la rentrée des classes.

Mieux vaut éviter de prendre de l'aspirine

Par ailleurs, il est important que les habitants aillent immédiatement consulter aux premiers symptômes ressentis : fièvre brusque et élevée accompagnée de maux de tête, de courbatures et d'une sensation de fatigue. S'il n'existe aucun traitement direct contre la maladie, les symptômes peuvent être pris en charge. Mais attention, mieux vaut privilégier le paracétamol et proscrire l'aspirine: tous les médicaments contenants des salicylés présentent des risques. En fluidifiant le sang, ils peuvent aggraver l'état des personnes qui souffrent des formes les plus graves de la maladie, la dengue hémorragique et la dengue avec syndrome de choc.

Les rares personnes, généralement des jeunes de moins de 15 ans, qui ne guérissent pas rapidement de l'infection peuvent en effet développer l'une de ces deux formes mortelles. La première se manifeste par des ecchymoses en nappes et des saignements digestifs abondants. La seconde se caractérise par une agitation, un pouls accéléré et une froideur des extrémités. Une personne sur cinq succombe à ces formes aigües quand elle n'est pas prise en charge dans un hôpital.

Les épidémies de dengue ne sont pas rares aux Antilles (épidémies en 1997, 2001, 2005 et 2007), mais celle-ci est particulièrement violente. En Martinique, la co-circulation de deux sérotypes distincts, le 1 et le 4, pourrait expliquer le nombre déjà élevé de morts. Les personnes infectées successivement par les deux virus différents sont en effet plus susceptibles de contracter une forme rare de la maladie. Le sérotype 1, le seul à circuler en Guadeloupe, n'avait pas été observé aux Antilles depuis plus de 10 ans. La population est donc très peu immunisée, ce qui pourrait également expliquer l'ampleur de l'épidémie.

http://www.lefigaro.fr/medias/2010/08/23/ff0813ca-aebc-11df-ad9b-0d054e557ffd.jpg

Il existe 4 types de dengue différents. Le type 1 n'avait pas circulé dans les Antilles depuis plus de 10 ans.
Il existe 4 types de dengue différents. Le type 1 n'avait pas circulé dans les Antilles depuis plus de 10 ans.

 

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A
<br /> <br /> Erreur, Monsieur Tikitak. Il faut classer les fléaux par ordre de nuisibilité : je me permets donc de vous reprendre, les deux fléaux de la Guadeloupe étant le dingue ET la dengue, cette dernière<br /> ayant l'avantage sur son collègue de ne pas nous rebattre les oreilles de ses rengaines et de ses slogans mensongers. Sans compter que la dengue est de passage, alors que son alter ego... Non<br /> seulement celui-ci n'est pas de passage, mais il est plus que jamais prêt à brûler la maison pour se cuire un oeuf. En résumé, la dengue est peut-être plus accommodante, à moins que, comme dans<br /> "La Goutte et l'Araignée", il prenne au dingue l'envie d'échanger avec sa consoeur. Qu'adviendrait-il alors ?<br /> <br /> <br /> <br />
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R
<br /> <br /> Donc, si j'ai bien compris, les deux fléaux de la Guadeloupe sont : la dengue et le dingue.<br /> <br /> <br /> <br />
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