29 Novembre 2010
De ceci, de cela.
Honni soit qui mal y pense.
Des oiseaux et de l'immigration sauvage.
Aucun racisme dans la publication du diaporama ci-dessous ( Voir le lien ). Et cette précision ne signifie nulle intimidation de ma part sous la pression des associations qui tentent d'imposer le politiquement correct, et en particulier d'assigner l'étiquette de « racisme » à ceux-là même qui luttent contre le racisme antiblanc et antifrançais qui sévit en réalité dans leurs campagnes de presse, et leurs actions en justice, outrancières et à tout propos, et le plus souvent hors de propos.
Ma précision signifie que parmi les dénonciateurs de SOS-racisme, de La Halde, ou du MRAP, il n'y a pas seulement des enfants de choeur, et qu'un racisme, parfois, peut en cacher un autre, dont je ne me sens nullement solidaire.
Le Scrutateur ne saurait justifier chez ceux-là ce qu'il reproche à ceux-ci.
Je m'adresse, ce disant à la lectrice qui semblait me reprocher d'être timoré sur le sujet dont nous parlons.
Je lui rappelle, que je suis l'une des très rares personnalités antillaises à mener le combat que l'on sait, sous son nom, et non sous le couvert d'un pseudonyme. Et que même les textes sous pseudo qui paraissent sur ce blog, relèvent de ma responsabilité.
Cela va sans dire, mais va encore mieux en le disant.
Cliquons sur le lien, regardons, et réfléchissons.
Edouard Boulogne.
« Livre »:LKP, Guadeloupe, le mouvement des 44 jours. Frédéric Gircour et Nicolas Rey.
Il y a trois semaines RFO -Guadeloupe, au journal de 19h30, recevait Frédéric Gircour, professeur d'espagno, et gauchiste métropolitain, pour faire la publicité de son « livre « LKP, Guadeloupe, le mouvement des 44jours. ( éditions Syllepse ).
Le garçon s'efforçait de sourire, sans parvenir à dissimuler ses quenottes de rongeur.
Son dandinement signifiait le gauchiste effervescent,plus habitué aux gesticulations maniaques, qu'aux gestes posés qu'on est en droit d'attendre d'un « auteur ».
Sa prestation n'était pas plus terminée que mon téléphone sonnait. Un lecteur me disait « Vous allez parler de ce livre »?.
Le Scrutateur m'impose des « devoirs ». Et certes, il en est de plus roboratif.
Je me suis donc procuré cet « ouvrage » et me le suis tapé.
Et, certes, le plumage est à l'unisson du ramage. Comme aurait dit l'un de mes vieux amis selon sa formule préférée pour qualifier ce genre de production « c'est nul! NUUUUUUlL!
Cent quatre-vingt dix pages de propagande. Même pas un calendrier exact des événement, mais d'un bout à l'autre une logorrhée en pure langue de bois.
Bien entendu le Scrutateur en prend pour son grade. Je suis traité de raciste, nostalgique de l'esclavage, négationniste, réactionnaire, que sais-je? Mais je m'en...moque, ayant à cet égard la peau bien tannée.
On se prend même à regretter que je n'ai pas encore été déféré à la justice ( que par ailleurs on dénonce ) comme criminel contre l'humanité, à l'instar de M. Alain Huygues-Despointes. (pp 157 et ss).
Rien de bien nouveau dans la calomnie ennuyeusement répétitive de ces petits messieurs.
Le tout est à l'avenant. Pour juger de la crédibilité de monsieur Gircour, dans l'une de ses références les plus fréquentes à l'une de ses principales sources, Allex Lollia ( qui joua au chef de bande, commandant de SS durant les 44jours, il écrit que le cher Alex « à l'âge de 13ans aidait déjà les ouvriers de l'usine sucrière de Darboussier au Moule à rédiger leurs tracts de revendication » ( sic!page 48 ).
Situer l'usine de Darboussier au Moule, ça il fallait le faire, chers amis guadeloupéens.
Avec de tels historiens révolutionnaires, le niveau scolaire va encore monter, c'est certain!
Une question ici se pose. L'ouvrage est cosigné par Nicolas Rey, dont on nous dit qu'il est « d'origine » guadeloupéenne, et qu'il enseigne à Guadalajara au Mexique.
Comment M. Rey a-t-il pu cosigner une telle sottise ( parmi tant d'autres)? A moins qu'il n'ait jamais mis les pieds en Guadeloupe, et que sa présence éditoriale ne soit que la caution basanée dont avait besoin notre petit blanc métropolitain gauchiste, pour ne pas se faire jeter par les révolutionnaires Elkapistes. On croyait ce procédé propre au colonialisme. Ô tempora! Ô mores!
Le »livre » coûte 17£30.
On sait pourquoi j'ai consenti ce sacrifice pécuniaire. Une véritable « pwofitasion ».
A vous de juger si vous n'avez pas un meilleur usage de vos sous.
Edouard Boulogne.