13 Septembre 2013
Confirmation de notre article d'hier : l'affaire du bijoutier de Nice. ( Une République de spadassins )
L'affaire du bijoutier de Nice confirme ce je disais sur l'évolution des causes du développement de la violence en France ( et ici même, chez nous en Guadeloupe ). Le citoyen ordinaire, vous et moi, sous le règne de l'idéologie qui a porté au pouvoir le président « normal » et sa bande, n'a plus qu'a se laisser voler, violer, estropier, massacrer, ou d'être poursuivi par la « loi de la République » ( sic ! ).
Au fond la « chance » de M.Blondel, assassiné par les voyous qu'il poursuivait pour voies de fait, est d'être MORT.
Sinon, il aurait eu, lui aussi, la peine d'être poursuivi devant les tribunaux pour avoir tenté de résister à ces curieuses « chances pour la France », que défendent les « législateurs en cols blancs » très particuliers qui hantent les couloirs de certains "palais".
Mis en examen pour homicide volontaire puis assigné à résidence, le bijoutier qui a tué un braqueur mercredi à Nice nous livre son témoignage à sa sortie du palais de justice.
Stephan Turk a les traits tirés, éprouvé par 48 heures de garde à vue. Déféré au parquet en début d'après-midi après avoir été hospitalisé jeudi soir à la suite des coups reçus lors de l'agression, il a été mis en examen pour homicide volontaire et assigné à résidence.
Juste avant sa sortie du palais de justice, il s'est livré à notre caméra. "Je regrette qu'il soit mort mais c'est lui qui a décidé de faire ça…"
L'avocat du bijoutier Franck De Vita a bien l'intention de "tout mettre en oeuvre pour démontrer qu'il y a eu légitime défense. Mon client est très marqué d'avoir enlevé vie d'un jeune homme."