14 Novembre 2012
Abattre le SOCIALISME est un devoir national.
La légèreté des Français, leur inculture politique, philosophique et religieuse dépasse l'entendement. A la conférence de presse de F.Hollande, hier, certains ne trouvent rien de plus à dire que le discours de Hollande ne « comportait pas de fautes de français » ( sic ) contrairement à ceux de son prédécesseur. L'anti-sarkozisme infantile continue et tient lieu de philosophie politique à des gens qui ne sont pas tous, ou plus, des galopins en barboteuses.
Ne revenons pas pour l'instant, sur le contenu du bla bla bla d'hier, dont le plus remarquable est de déclarer qu'on mettra en jeu, pour combattre la crise le programme même de Sarkozy ( relèvement du taux de la TVA, etc ), comme l'a timidement fait remarquer, et sous la forme interrogative ( plus soft ) une journaliste.
Ce qu'il faut marteler, et comprendre, nous nous y efforcerons sans répit, et continuerons de le faire, c'est que c'est l'idéologie socialiste elle-même qu'il faut identifier pour ce qu'elle est, combattre, et ABATTRE.
Le socialisme, ce n'est pas la pratique d'une politique sociale et généreuse ( ce qu'elle voudrait faire croire qu'elle est ) mais une conception du monde, une utopie ( cf l'article qui sera publié sur le Scrutateur, à la suite de celui-ci, sur l'utopie ), une volonté farouche de réduire l'homme à la conception d'idéologues fanatiques, et d'autant plus qu'ils veulent paraître gentils et... « normaux ».
Cette conception est radicalement étrangère à la nation française dont l'histoire a fait, si imparfaite qu'elle puisse être une création, une « nature » chrétienne.
C'est la raison pour laquelle l'idéologie socialiste ( qui se pare des attributs de la « république » et de la « laïcité » ) est si acharnée à éradiquer le christianisme de notre paysage, et de nos moeurs.
La laïcité vraie est une création du christianisme, elle consiste à séparer la religion et l'Etat.
« Rendez à César ( l'Etat ) ce qui est à césar, et à Dieu ce qui est à Dieu » a dit Jésus.
L'Eglise, en tant que telle n'a pas à définir les meilleurs moyens de sortir de la crise économique, par exemple.
Mais, sous le mot de « laïcité », ce que pensent les Hollande, Peillon; Strauss-Kahn et consorts, c'est le laïcisme, c'est-à-dire une conception foncièrement matérialiste, où la religion dans la mesure où elle affirme des valeurs transcendantes à toute société, une irréductibilité de l'homme à toute idéologie, est qualifiée de superstition, de puissance aliénante.
Beaucoup se rengorgent en évoquant la loi de 1905, sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat.
Cette loi, fut, devant la résistance farouche des Français en ces années du début du XXème siècle, au projet d'extirpation du religieux chrétien, fut donc le résultat d'un compromis.
Pour les laïcistes, il fallait gagner du temps, pour parvenir peu à peu à leurs fins.
La meilleure définition de ce projet laïciste a été donné par par l'un de ses leaders les plus déterminés, le socialiste René Viviani. Voici ce qu'il écrivait, lui, ministre du travail dans un cabinet Clémenceau, le 08 novembre 1906 : « 8 novembre 1906. Ministre du Travail dans le cabinet Clemenceau, le socialiste René Viviani monte à la tribune du Palais-Bourbon. « Tous ensemble, proclame-t-il, par nos pères, par nos aînés, par nous-mêmes, nous nous sommes attachés dans le passé à une œuvre d'anticléricalisme, à une œuvre d'irréligion. Nous avons arraché les consciences humaines à la croyance. Lorsqu'un misérable, fatigué du poids du jour, ployait les genoux, nous l'avons relevé, nous lui avons dit que derrière les nuages il n'y avait que des chimères. Ensemble, et d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des lumières qu'on ne rallumera plus. Voilà notre œuvre, notre œuvre révolutionnaire. Est-ce que vous croyez que l'œuvre est terminée ? Elle commence au contraire. ».
C'est cette oeuvre de démolition que poursuivent les descendants politiques de M. Viviani, les Hollande, Peillon ( d'où mon avertissement le jour même où ce monsieur a été nommé ministre de « l'éducation » ), les Philippetti etc. Leur arme principale c'est l'ignorance abyssale des jeunes générations ( soigneusement abruties par une éducation qu'on leur présente mensongèrement comme généreuse, et libératrice ).
Tout est bon pour parvenir à calciner les valeurs de la chrétienté, ,même l'alliance avec d'autres religions, aussi éloignées que possible de l'humanisme chrétien, telle que l'Islam.
Je vous suggère vivement d'aller plus loin et de lire plus bas la dernière exigence des islamistes de France, à laquelle la mairie de Paris, et dans la foulée, toute la France s'apprête à céder.
Comment expliquer cette alliance avec les mahométans? Pure tactique? Jouer l'un contre l'autre en espérant les annihiler tous les deux?
Ou bien envie femmeline, bien souvent constatée dans l'histoire, d'être fécondé par les barbares? « Approchez-vous! Venez, forniqueurs virils et sauvages, pour vivifier un peu nos mornes vies de kahniens décadents ! ».
Le Scrutateur vous invite, vous qui avez d'autres rêves, à lire attentivement ce qui suit, et à vous engager activement, réellement, et intelligemment dans une lutte vitale.
Edouard Boulogne.
( I ) France, la menace islamique se précise :
( II ) Un entretien lumineux avec henri Boulad sur l'islam :
( III ) Islam : Ce qui se passe en Angleterre :
http://www.youtube.com/watch?v=2ms1AcnQg40&feature=youtu.be
Un livre important, à lire de toute urgence.