11 Septembre 2009
L'empressement officiel autour du vaccin contre la grippe H1N1 paraît suspect à bon nombre de gens, et en particulier aux organisateurs de la Conférence pour la liberté de choix en [matière de] santé, qui se tiendra à Montréal samedi 12 septembre, de 9 heures à 22 heures (heure des Antilles). En effet, les avis de la communauté scientifique sont infiniment plus nuancés que ceux de la "communauté internationale". Et les esprits les plus prudents n'écartent pas l'hypothèse d'une vaste mystification, voire d'une vaste corruption, toujours possible compte tenu des enjeux financiers. Ces hypothèses, voire ces soupçons, sont également alimentés par le caractère autoritaire des mesures qui se profilent alors que le problème sanitaire s'avérerait bénin, si l'on en croit de nombreux témoignages concordants de personnes ayant été affectées par cette forme de grippe.
Certaines mesures réglementaires extrêmement suspectes semblent avoir été prises : on dit, par exemple (mais cela reste à vérifier), que le secrétaire d'État américain à la santé, Kathleen Sebelius, aurait signé, fin juillet, un décret conférant une totale impunité aux fabricants des vaccins contre la grippe H1N1 en cas de poursuite judiciaire. Comment s'étonner, après, que l'on puisse se demander si le principe de précaution, mis en avant, n'est pas celui des précautions que prennent les opérateurs d'une vaste campagne de mystification (à l'échelle mondiale) pour se soustraire à toute contestation ultérieure des décisions arbitraires qu'ils cherchent imposer avec l'autorité que confèrent les pouvoirs des États ?
Si c'était vrai ?
Et si le caractère totalitaire des mesures à venir représentait une menace ?
Si c'était faux ? SI, par exemple, jamais le secrétaire d'État américain à la santé n'avait signé pareil décret ? Nous aurions une précieuse indication sur la nature des informations qui circulent d'une manière intentionnellement mensongère (au moins au départ) sur des sujets de première importance.
Il est même possible d'envisager que des officines pleinement engagées dans un processus louche mettent en place des leurres de leur fabrication (par exemple de prétendues expertises, les plus caricaturales possible) de façon à discréditer toute opposition à des projets immoraux, souterrains et... parfaitement étanches.
Il circule sur la toile, comme on dit, quantité d'informations vraies et fausses - certaines sont même tellement extravagantes qu'on a du mal à en imaginer la réalité. Néanmoins, la relation des choses - et nous sommes bien placés, à la Guadeloupe, pour le savoir - diffère beaucoup selon les intérêts des uns et des autres. Tartuffe ne se confie pas, et c'est en le démasquant seulement qu'on peut mettre fin à ses agissements. Soulignons que ceux qui cherchent à faire entendre leur voix contre l'énorme machine qui est en train de se mettre en place n'ont pas grand chose à y gagner.
Pourquoi ne pas chercher à entendre un autre discours, pour mieux le réfuter si cela doit être, et pour nous faire une idée de ce qui nous attend, si ce qui nous attend a un rappport éventuel avec les mises en garde "dissidentes" qui sont faites ici et là ?
La Conférence pour la liberté de choix en [matière de] santé dispose d'un site de présentation sur le lien suivant :
Et la diffusion de ce congrès peut être suivie en utilisant cet autre lien.
Scrutons donc... Cherchons à découvrir, derrière les apparences, ce qu'il en est. Examinons soigneusement toutes les pistes. Ceux qui veulent aller plus loin dans leur observation pourront alors se rendre compte par eux-mêmes de la nature du bois sont faits ceux qui tirent les signaux d'alarmes : des sages ? des imposteurs ? des farfelus ?