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13 Avril 2009
(Les articles, comme celui-ci, qui dans les jours qui viennent seront précédés du sigle (EG) sont destinés à réfléchir plus
particulièrement dans la perspective des EG (Etats généraux) qui vont se dérouler).
C’était à Sebnitz, en Allemagne, en 1997. Plus exactement le 23 novembre 1997. Le journal Bild Zeitung racontait l’assassinat d’un petit garçon, Joseph Abdulla, d’origine irakienne. L’enfant aurait subi une mort atroce : frappé, drogué, électrocuté, puis noyé devant une centaine de personnes par une bande de skinheads. Emotion dans toute l’Allemagne. Le nazisme serait-il de retour ?Le 20 novembre, trois suspects étaient arrêtés, et le chancelier G. Schröder dénonçait « l’un des évènements les plus abominables survenus au cours de ces dernières années ». Ledit événement prenait d’ailleurs très vite une dimension internationale. En France, Libération (« Libé »), titrait en gros « Joseph, massacré par des néo-nazis ». Il est vrai que le quotidien « branché » quelques jours après avait l’honnêteté de reconnaître son erreur, mais en pages intérieures. Car les trois suspects ont fini par être relaxés, les témoins ayant « corrigé » leurs premières dépositions, aucun d’entre eux …… n’ayant été présent au moment des faits. C’est la mère de l’enfant qui aurait « suggéré » les témoignages contre 150 marks. O temps ! O mœurs, où l’on fait argent de tout. Et pourquoi se priver quand une certaine idéologie « antiraciste » à sens unique, assure, à une victime vraie, ou ……supposée, notoriété, et même davantage, à condition qu’elle ait une origine extra européenne ! Les cas analogues abondent.
Nous sommes cette fois en France, en mai 1999. Depuis des jours, la petite ville de Vauvert est en effervescence. Voitures incendiées, vitrines de commerces, et bars défoncées, etc. Les commerçants de Pointe-à-Pitre ont connu cela, aussi, il n’y a pas longtemps. Un habitant de la ville perd son sang froid. Joël ELIE, tire un coup de fusil sur un groupe de « jeunes »(le terme de « jeunes » est le plus souvent utilisé pour éviter de préciser que des délinquants ou criminels sont d’origines étrangères, ou ethniquement intouchables . Quand il s’agit de Français« de souche », comme on dit, la précision est faite, et si Gérard trucide Abdul, c’est toujours un crime raciste, pas dans le sens inverse). Mounir Oubajja, 19 ans s’effondre. Crime raciste dit-on aussitôt. La presse nationale fait donner les grandes orgues. SOS- racisme fait état du témoignage de plusieurs jeunes qui auraient entendu ELIE proférer des propos racistes. SOS-racisme porte plainte « C’est le racisme et la haine qui ont motivé le meurtrier » proclame l’association qui fut présidée par Harlem (Désir). Le fascisme ne passera pas ! !
Hélas ! (pour l’association) au procès, le sens de l’honneur, s’est éveillé chez les jeunes « témoins ». Quatre d’entre eux reconnaissent sous serment n’avoir pas dit la vérité. L’un d’entre eux, une jeune fille déclare : « On était réunis dans un appartement, on nous a donné des feuilles. Nous avons écrit. Quelqu’un de SOS-racisme a relevé les copies. Mais je reviens sur ce que j’avais écrit, car, en fait, je n’ai pas vu grand chose ».
L’avocat de Joël ELIE, porte plainte contre SOS-racisme pour subornation de témoins.
Tout cela devrait faire réfléchir. Le racisme est, quand il existe chez quelqu’un un défaut d’ordre moral, et souvent une marque de sous information. Mais, sous le nom d’antiracisme se développe en Europe, et plus particulièrement en France, une idéologie d’un racisme anti-blanc, aux mains d’une subversion où l’on retrouve souvent le parti Communiste qui cherche à remplacer l’ancienne lutte de classes (moteur du progrès historique, selon cette idéologie criminelle), qui bat de l’aile, par une idéologie de lutte de races et de cultures, dont les dangers sont énormes.
Bruno GHEERBRANT, vient de publier (accessible sur Internet : www.racismeantiblanc.bizland.com ), un ouvrage intéressant LE RACISME ANTIBLANC. En exergue, il place le texte d’une chanson du groupe Ministère Amer. Voici ce texte, dans sa crudité:
« Quelle chance d’habiter la France / Dommage mon petit que ta mère ne t’ai rien dit de ce putain de pays / où 24 heures par jour et sept jours par semaine / j’ai envie de dégainer / sur des f a c e s d e c r a i e . / Faces de craie : bien placées : qui m’empêchent de m’exprimer… »
« Pandans les dents / Je m’adresse à toi petit blanc / Je baise ton gouvernement / Tu me diras / « pourquoi tant de Haine ? / avec la sale haleine / je te dirai / ta mère / ta sœur / cette chienne / kiffe l’Afrique / ma trique / ma Zig / logique / elle veut un négroïde… »
« De sa fille il en a marre, veut la caser comme un jeu avec un con –euh -, un blond aux yeux bleus »
« Que va-t-il se passer au village des visages pâles ti mal (sic). Je les fixe dans mon zoom zoom : Boum ! boum ! dans Pim et Pam et poum / les Goume Goume / anéantir .. »
Ministère Amer.
Voici, chers lecteurs, ce que diffuse dans l’esprit de nos chères têtes blondes et brunes une certaine sous culture fréquemment subventionnée par le ministère du même nom où régna longtemps un certain Jack LANG.
Ce matin du 22 décembre de l’an 2000, tombe l’information que, sur le territoire européen de la France un jeune cambrioleur, surpris par les gendarmes, au terme d’une brève poursuite a abattu l’un des gardiens de l’ordre « comme un lapin » (Europe numéro un). Je vois dans ce fait divers dramatique, un rapport avec ce qui précède.
Pas vous ?
Edouard Boulogne.
Ce texte a été publié dans mon livre Libre parole.