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23 Mars 2009
Ce n'est pas la grosse presse qui évoquera les faits justifiant les propos de Benoît XVI. Et surtout pas les
déclarations du directeur du Projet de recherche sur la prévention du sida à la
prestigieuse université de Harvard aux Etats-Unis. Edward C. Green a jeté un véritable pavé dans la mare du trompeur consensus médiatique mondial. Mais il n’y aura pas d’onde de choc : les
mêmes médias mondiaux s’intéressent à tout, sauf à la réalité.
Interrogé par la National Review Online, Edward Green a répondu : «
Le Pape a raison. Ou pour répondre plus précisément :
les meilleures données dont nous disposons confirment les propos du Pape. »
Il fait clairement état d’une corrélation entre la progression de la séropositivité et de l’accès facilité aux préservatifs qui devraient conduire les commentateurs à exercer leur indignation
en sens inverse, à l’encontre des promoteurs d’une fausse solution qui est scientifiquement associée à plus de malades, plus de misère, plus de morts, plus d’enfants frappées par la
tragédie.
Autrement dit, le recours au préservatif permet certes de réduire le risque de contamination – mais non de
l’annuler – mais encourage à adopter des conduites à risques qui aboutissent à davantage de contaminations.
Un livre d’Edward Green présenté sur le site de son unité de recherche, tirant les leçons de l’expérience de la lutte contre le sida dans les pays en voie de développement, explique
: