Le Glossaire du CRIA indique :
SORIN : Constant Sorin a été gouverneur de la Guadeloupe du 30 Avril 1940 au 15 Juillet 1943. Officier allemand envoyé par Hitler pour commander la Guadeloupe. Pour certains, l’expression “En tan Sorin”(au temps où Sorin gouvernait) est synonyme pour certains de misère, de privation, d’inquiétude du lendemain et pour d’autres de travail.
http://www.ac-guadeloupe.fr/Cati971/snd_degre/clg_rnains/pages/glossaire.htm#G.E.P. :
Le C.R.I.A est un service du Rectorat d’assistance aux E.P.L.E. (Etablissements Publiques Locaux d’Enseignement).
Edouard Boulogne avait déjà signaler ce véritable délit en juin 2006 ! Vous pouvez lire son article ici !
http://www.lescrutateur.com/article-11114481-6.html
Rien n’a été fait pour modifier ce texte !
Si j’évoque aujourd’hui ce petit dossier, c’est que dans les commentaires à l’article du Blog du SCRUTATEUR se trouve une véritable pépite qu’il faut analyser en ces circonstances particulière de grands échanges sur le net : Le correspondant s’adresse à Edouard Boulogne en ces termes :
Je crains hélas que le problème soit plus culturel (socio-culturel, pas kilti la) ou méthodologique que politique. Ce que l’article que vous citez met en exergue, c’est l’absence de fondement d’une grande partie des contenus disponibles sur internet où souvent des informations sont simplement assénées, mais non vérifiées ni illustrées.
Même si l’internet et le blogging facilitent l’autoédition et une diffusion large des écrits et des idées, je suis convaincu d’une baisse globale de
la qualité de l’expression….
Commentaire du
Scrutateur.
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Je présise que l’ancien Recteur de l’Académie de Guadeloupe que je rencontrai par hasard à la boutique de la presse (celle de Jarry qui n’a pas été incendiée), en juin ou juillet 2008, reconnut avoir reçu mon courrier, et aussi “n’avoir pas eu le temps d’y répondre”. Il me dit être “en tant que recteur” responsable du mensonge que je dénonçais mais non coupable. “La coupable, me dit-il, est l’inspectrice d’histoire, en charge, sur le site académique du rayon histoire”. Comme je lui demandais si je pouvais faire état de notre conversation, il eut un court silence, me répondit par un curieux sourire en biais, et le propos suivant : “je vous enverrai un courrier”.
J’attends toujours ce courrier d’autant plus improbable, que M.Alain Miossec (oh! qu’il doit s’en féliciter!) a depuis été nommé recteur de l’académie de Rennes.
Gageons que son successeur, ne fera rien non plus pour rétablir la vérité, peu soucieux de voir “débouler” les hordes de pseudos historiens de son académie, mais vrais menteurs, et négationnistes cyniques, avec les macoutes du KLP, sous la direction du tellement “subtil” René Beauchamp, dans les locaux du rectorat, défonçant les portes à coups de pieds comme d’habitude (on est “intellectuel” ou on ne l’est pas), et tabasser le recteur lui-même. Il est évidemment plus facile, pour un recteur, comme pour tout un chacun, de s’émouvoir devant un film sur la résistance, ou sur Jean Moulin, que d’être un Moulin, ou un résistant en acte!
Ceci permet de comprendre mon opposition déterminée au propositions du LKP qui ne se limitent pas à l’augmentation (immédiate!) de deux cents euros (net) de tous les salaires, mais parmi lesquelles on peut lire ( entre autres énormités et inepties dangereuses) au chapitre sur l’éducation : “Disposer d’un pouvoir décisionnel en matière de programme, d’orientation, d’éducation, de gestion des ressources, de la mise en place d’un plan de titularisation des personnels contractuels et des contrats aidés”!
Si de telles concessions leur étaient faites, ce serait l’abandon des enfants de la Guadeloupe, à la volonté manipulatrice de fanatiques bornés, de manipulateurs fieffés, tels qu’en ont connus tous les pays totalitaires, nazis et communistes, qui en feraient de bons petits “gardes rouges” et de parfaits crétins.
Imaginons aussi le degré de servilité qui deviendrait celui des candidats à des postes de personnels contractuels, dans la Guadeloupe de M. Domota, ou du lamentable René Beauchamp. Il est temps que les Guadeloupéens se réveillent.
Il ne s’agit pas ces jours-ci d’un simple problème de pouvoir d’achat, mais de quelque chose de beaucoup plus grave.
Edouard Boulogne.