Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
15 Février 2009
Garder la confiance.
Nos départements d'Amérique sont actuellement l'objet d'une tentative d'intimidation de grande ampleur.
Depuis des semaines, nous analysons ici, et avec l'aide de nombreux d'entre vous, cette situation difficile, et pour beaucoup, angoissante.
La subversion repose sur deux forces principales.
Une force de frappe, représentée par l'UGTG, un faux syndicat, en réalité un parti politique séparatiste, dont la doctrine de violence est connue, s'appuyant sur des sujets de mécontentements
réels, et des ressentiments hérités de l'histoire,
mais solubles par des moyens légaux.
Cette force de frappe peut compter, en temps normal sur 4 à 5000 personnes, et actuellement sur une vingtaine de milliers de personnes abusées par la propagande, et entraînées par la fascination,
qu'exerce toujours sur les foules, le spectacle de la force. Les foules sont femelles a-t-on dit.
Le deuxième pillier du collectif "Liyannaj " est la possession des médias, qui est entre leurs mains, du fait de la négligence qu'ont trop souvent les partis et milieux politiques traditionnels
pour le rôle de l'information (en fait la désinformation") , et de la culture.
Le but est de donner l'impression que leur force est irrésistible, et que rien ne l'arrêtera, de créer le phénomène que les spécialistes de l'action psychologique appelle la "panique muette",
c'est-à-dire d'amener 90% d'une population qui ne partage pas les objectifs de la subversion à se terrer chez soi, et à laisser la rue au pouvoir de la minorité braillarde que l'on sait.
Chers amis Guadeloupéens, résistons à l'intimidation. Mardi prochain, à Pointe-à-Pitre, réunissons nous nombreux pour défiler au service de la Guadeloupe, pour la liberté de travailler, et de
circuler, pour la paix civile, et la défense des citoyens.
Edouard Boulogne.