Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
13 Février 2009
Crise en Guadeloupe : Vendredi 13 février
2009.
Dernières nouvelles du Front. On m'informe à l'instant que sur RFO-Martinique, au journal télévisé de RFO, le président
Marie-Jeanne (pourtant séparatiste), et M.Letchimy (maire de Fort de France), invitent à cesser les blocages en Martinique, à reprendre le travail.
Marie-Jeanne, déclare qu'en tant que Président de région, il supporte mal de voir la Martinique se couler elle-même, dans des comportements irresponsables.
Ici, notre Domota, plus sérieux qu'un administrateur apostolique (sic!), déclare vouloir continuer la prise en otage, et ceci dans un langage politico-militaire, qui insquiète, à juste
titre, plus d'un Guadeloupéen (voir l'un des derniers commentaires sur ce blog).
Lucette Michaux-Chevry s'adresse, "maternellement", à celui que d'aucun (les illuminés sont de toutes les époques), comparent déjà au prophète Elie (!!!!), pour lui demander de relâcher la
pression. On aimerait savoir le cas que fait Elie, de sa nouvelle maman. Lucette apprendra bientôt que, qui sème le vent récolte la tempête!
Ce midi, à Pointe-à-Pitre, des incidents ont eu lieu rue Frébault , entre Macoutes du Liyannaj, et commerçants antillais noirs (puisqu'hélas, il faut préciser ce genre de choses pour les
journalistes métropolitains qui débarquent et appliquent mécaniquement leurs grilles de lecture fausses sur le conflit en cours). . La police a dû intervenir.
Mais quoi! Le temps de la soumission des Guadeloupéens aux crapules UPLG, commence à tirer à sa fin.
On me téléphone de Gourbeyre pour me signaler que des voitures commencent à circuler, leurs occupants criant "Vive la Guadeloupe! Vive la France"! Même commentaire.
Restons calmes! Mais soyons déterminés! Le salut de la Guadeloupe est en jeu.
A demain, chers lecteurs, et chers résistants!
Edouard Boulogne.