Willy ANGELE, président du MEDEF-Guadeloupe, par Edouard Boulogne.
5 Septembre 2007
Rédigé par Edouard Boulogne et publié depuis
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Willy Angèle, président du MEDEF-Guadeloupe.
Christian Viviès, après quatre ans d'une présidence active, efficace, et mesurée, avait décidé, conformément à son habitude de prendre du champ, et de ne pas se représenter à la présidence du MEDEF-Guadeloupe.
J’apprends, ce matin (5 septembre) que c’est son vice président, Willy Angèle qui le remplace, élu à l’unanimité des membres.
Je me réjouis vivement de cette élection, et je crois que le Medef n’aura pas à s’en repentir.
Je connais bien Willy Angèle, pour l’avoir eu comme élève de philosophie, (vers 1979, ou 1980) en classe de terminale C (la terminale scientifique, l’actuelle S) au lycée de Massabielle à
Pointe-à-Pitre où Angèle a fait ses études secondaires.
J’ai le souvenir d’un garçon brillant, sérieux, réfléchi, et en même temps plein d’un humour discret, un peu britannique. Dans ses rapports cordiaux avec ses condisciples, il avait aussi
un sens aigu de l’équité, qui le faisait rechercher pour l’arbitrage des conflits.
Toutes ses qualités l’avait fait surnommer « le philosophe ».
J’ai revu Willy Angèle à plusieurs reprises depuis cette époque. Ses qualités se confirmaient. Ce boulimique de savoir ne se contentait pas du résultat de ses brillantes études à
Paris. A l’époque de la photographie ci-contre (il y a une quinzaine d’années), il multipliait les challenges, accumulait les doctorats.
C’est une chance pour le Medef, et pour la Guadeloupe, de disposer d’une relève de cette qualité. La tâche qui l’attend est certes difficile, mais l’une des chances, aussi, du nouveau
président est qu’il peut compter sur l’appui d’une « vieille garde », qui n’a certes pas démérité.
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nous sommes une association intermédiaire dirigée vers les services à domicile et la mise à disposition dans les entreprises sachant que nous travaillons avec un public demandeur<br />
emploi en grande difficulté social et économique.<br />
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Par ailleurs nous souhaiterions être mis en contact avec des donateurs ou des grands comptes entreprises qui auraient une vocation d'aider les structures d'insertion et<br />
encourager le développement de l'emploi.<br />
je précise toutefois que notre convention passé avec l'état nous permet de bénéficier d'avantages fiscaux envers les entreprises désireuses d'avoir une action citoyenne.<br />
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J'habite en région parisienne et je soutiens votre position.Le moment ne serait-il pas venu de proposer au titre de l'égalitéla suppression des 40% et autres avantages dont bénéficient lesmeneurs grévistes ?Bien à vous, rr.
je suis déçu que quelqun d'aussi chevronné se contente de continuer à philosopher, alors qu'il est titulaire d'un bac S.l'heure n'est plus à la philosophie il faut de l'action et des propositions sérieuses et honnêtes et selon les pertes enregistrés ,il est aisé de calculer dans les 2sens, sous prétexte de proposer du travail aux GUadeloupéens, ce n'est pas parce que l'on est chef d'entreprise, que l'on a le droit de penser, qu'au gain et jamais à une meilleure répartition des richesses auxquelles à contribués le travailleur ou devrai-je plutôt dire le collaborateur.Des pères et mères de familles qui travaillent et qui ne voient aucunes évolutions ni de postes, ni de salaires,sosu prétexte que vous proposer de l'emploi, vaut mieux 2bons collaborateurs, efficaces et compétents qui vivent correctement de leur labeur que 10 salariés presqu'efficaces, presqu'incompétents et se débrouillant tant bien que mal et pluôt mal avec femme et enfants,, le paternalisme patronnal c'est terminé,et le chantage au travail est indigne d'homme digne de ce nom;si tous les salariés devenaient patrons , le monde auraient du mal à tourner,l'un est indissociable de l'autre, l'un à besoin de l'autre ,tant que les jeunes patrons et cette vieille garde conservatiste , garde ces principes surranées , on continuera à parler un dialogue de sourd,les mêmes toujours en profitent et les mêmes souffrent ...Un patron doit avoir du respect pour ces salariés et le fait de donner du travail , ne suffit pas à avoir la conscience tranquille et la satisfaction du devoir accompli, c'est un leurre .....mais il est plus facile de faire semblant de compatir à la misère des autres, quand on n'en n'est pas victimes, et malheureusement la misère du TRAVAILLEUR ANTILLAIS, est vulgairement banalisé , par VOUS. Faites un effort de calcul, des jeunes l'ont fait sur facebook !En laissant pourrir ce conflit, afin de pratiquer la guerre des nerfs, vous devez reconnaître que ces 200eur peuvent être octroyés,et vous avez ,l'ensemble des socio votre part de responsabilités dans la mort de ce pauvre homme.
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Willy Angèle a été mon élève de terminale S il y a déjà lontemps. Il a fait depuis de nombreuses études très poussées, en particulier d'économies.<br />
Vous semblez lui reprocher de philosopher. Mais, d'une part il ne confond pas les genres, d'autre part, cela ne fait pas de mal de philosopher un peu (et vous devriez en prendre de la graine. Cela<br />
développe la capacité de raisonner, de se remettre en question, de développer l'esprit critique, toures choses que semblent ignorer les haepies hystériques qui les harcelaient, hier, lui et Didier<br />
Payen, sur Canal X. Ces chefs d'entreprsises, le blanc créole, et le métis travaillent courageusement et intelligemment pour la Guadeloupe. Eux comme moi (dans un autre domaine) le font sous<br />
leurs noms, à visage découvert et pas sous le couvert d'un anonymat un peu trop commode.<br />
Edouard Boulogne.<br />
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Pascal
06/09/2007 04:22
juste un petit mot pour constater que le prof, fraichement retraité, garde le silence sur la première rentrée des classes à laquelle il échappe ;c)