6 Novembre 2024
D'habitude lors des élections présidentielles américaines, je suis jusque tard dans la nuit les débats télévisés sur LCI. Hier soir, je me suis couché de bonne heure : minuit. Sur LCI, et de plus en plus, tout devient ennuyeux pour ceux qui essayent de réfléchir. De plus en plus, en France, « la gauche » brouille les enjeux, triche et ment, et le « grand public » mord aux appâts.
Hier soir le débat était dirigé par une jeune donzelle, de bonne bourgeoisie parisienne, sûre d'elle-meme et dominatrice, vêtue d'une ample cape rouge,.
On aurait pu croire à une résurrection de la Princesse Fausta, personnage diabolique de Michel Zévaco, qui captivait les adolescents du temps ou ils lisaient.
Donc la donzelle paradait, même si, avec les heures, son visage devenait moins éclatant de confiance.
Vers minuit pourtant la ligne du commentaire traçait une courbe où Trump et Kamala faisait du coude à coude. Pour en douter il fallait être attentif aux « petites » informations qui se succédaient, en bas d'écran, en tout petit, et très vite.
A minuit, peut-être à cause de l'âge, je coupai la télé, et pris congé de la Fausta, et de ses boniments très TF 1.
Ce matin six heures, après un sommeil réparateur, RCI me réveille.
Trump est resuscité, il est à nouveau Président des USA, et le score est sans appel.
Pour ma part, n'étant pas américain, je n'étais pas un supporter très ardent de l'une ou de l'autre avec pourtant une légère sympathie pour le Donald traité de salaud par « l'intelligentzia » médiatique.
Quant à Kamala, faute d'avoir pu prouver autre chose, elle aura prouvé avec évidence qu'elle à de belles dents, bien blanches.
La suite au prochain numéro !
Le Scrutateur.