Crise ambiguëe à la Martinique :

Chère « vie chère »

Violences urbaines : véhicules incendiés, gardes mobiles blessés... retour sur une nouvelle nuit de tensions à Fort-de-France et au Lamentin. 

Il s’agit de la Martinique, naturellement.

Il faudrait espérer que tout le monde comprenne que tout ceci n’est que fumées et fumisterie. Le vrai sujet du verbe propagé autour du leurre de la vie chère - chère « vie chère » - c’est la volonté d’Haïtiser la Martinique, qui, en termes d’objectifs et de moyens réunit la racaille et la canaille, autrement dit les gangs et le tissu politico-syndical et associatif des « belles personnes » réunies dans un même élan.

La preuve par les œuvres. Ce mouvement est si rejeté par la population martiniquaise que les traditionnelles grandes orgues de la subversion ont mis le turbo pour lui éviter de prendre fin. La presse fait semblant comme d’habitude dans l’usufruit de sa rente d’incompétence, le gouvernement doit se contenter de serrer les dents et ne rien dire de qu’il sait pour ne pas être traité - y compris par Poutine-le-Grand - d’État colonialiste, raciste et violent. Quant aux békés, ils sont obligés de taire tout ce qu’ils savent pour éviter d’entendre leurs paroles travesties parcdes gueux pourcexciter des sots et d’encourir les foudres de Libé, de Médiapart et de La Mélenche qui leur donnent au mieux la permission de se faire insulter, diffamer, voire plus si imagination et au pire l’autorisation de se faire assassiner.

Les présumés juges ne sont pas en reste, ils sont même au taquet depuis le premier jour. Ayant déjà libéré par IJD (Interruption Judiciaire de Détention) le meneur des troubles actuels qui purgeait une peine de 10 ans de prison pour violences et trafic de drogue, ceux-ci veillent au grain et ne voudraient surtout pas que l’on fasse offense à un ennemi public déguisé en Robin des lois.

Comme chacun sait, la douceur des maximes révolutionnaire bercent les cœurs d’une langueur tonique et platonique qui fait la part du monde sensible et du monde intelligible