7 Janvier 2024
Troisième image : L'époque où la mer recouvrait le Bassin parisien, jusqu'à la hauteur de Montmartre, et au delà.
La température tend à s'élever. L'on nous promet, partout la fonte des glaces, et les pires catastrophes.
Fort bien. Mais quels sont les causes du phénomène ? L'activité humaine ? Ou non ? Il faut savoir qu'il y a douze mille ans le Sahara était une zone verte, arrosée. Des traces d'activité agricole y subsistent. L''Europe fut alors couverte de glace, jusqu'à une élévation de température qui fit tout fondre, avec en conséquence une élévation du niveau de la mer recouvrant tout le bassin parisien. La mer venait battre la colline de Montmartre, où l'on trouve encore des marques de cette inondation. Et Le Sahara était vert. Or à cette époque l'activité humaine était essentiellement agricole et les hommes peu nombreux.
L'histoire doit nous rendre prudents à l'égard des déclarations de certains milieux. Faut-il prendre à la lettre les déclarations d'associations comme le GIEC ? L'article qui suit peut-être utiles aux esprits curieux et prudents.
Le Scrutateur.
Si le mercure baisse en France, la Scandinavie bat des records de froid. En Suède, les températures ont chuté à -44 degrés ce mercredi 3 janvier, du jamais vu depuis 25 ans
Réchauffement climatique et idéologies mortifères.
( Le n° 1112 de Désinformation Hebdo du 9 septembre 2009, publie cet intéressant article sur la désinformation de masse à propos du réchauffement climatique ).
La presse française est restée naturellement discrète, pour ne pas dire muette, sur le sujet tant il va à rencontre des idées reçues et de l'intense propagande politique et médiatique dont nos compatriotes sont victimes.
lan Plimer, professeur de géologie minière à l'Université d'Adélaïde, a récemment publié Heaven And Earth, un ouvrage consacré au changement climatique. «L'hypothèse selon laquelle l'activité humaine pourrait créer un réchauffement global est extraordinaire parce qu'elle est contraire à tout ce que nous enseignent la physique du soleil, l'astronomie, l'histoire, l'archéologie et la géologie».
Et l'universitaire de poursuivre : «]e suis géologue. Nous autres géologues avons toujours admis que climat change au cours du temps. Nous sommes différents de ces gens qui soutiennent le réchauffement climatique anthropocentrique par notre compréhension des échelles. Ils ne s'intéressent qu'aux 150 dernières années Notre cadre est de 4.567 millions d'années. Ce qu'ils essayent de faire équivaut à essayer de comprendre l'intrigue de Casablanca ( célèbre film des années quarante, avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman. Précision du Scrutateur) à partir d'une courte séquence de la scène d'amour. Vous ne pouvez pas. Ça ne marche pas.» Le professeur fait également remarquer, par exemple à propos d'un sujet dont on nous rebat les oreilles, que la glace des pôles n'a été présente sur terre que pendant 20% du temps géologique; que les extinctions d'espèces sont banales; que les changements climatiques sont cycliques et normaux ; que le CO2 dans l'atmosphère - auquel l'activité humaine contribue pour une fraction infime - ne représente que 0,001% du CO2 contenu dans les océans, les roches de surface, les terres et les espèces vivantes; que le CO2 n'est pas un polluant mais une nourriture pour les végétaux ; que les périodes les plus chaudes de la Terre - comme lorsque les Romains faisaient pousser des vignes et des citronniers jusqu'au nord du Mur d'Hadrien en Angleterre - étaient des époques de richesse et d'abondance, autant d'exemples négligés par la plupart des journaux de notre pays et qui ne figurent que sur certains sites internet. Tous sont des faits scientifiques avérés - plus scientifiques que les modèles informatiques dégorgeant leur flot de scénarios de fin du monde avec des températures inexorablement croissantes, des îles submergées et des banquises qui s'effondrent pour reprendre les propres termes du géologue dans son ouvrage, lan Plimer n'accorde en effet aucune confiance à ces modèles parce qu'ils semblent n'avoir peu ou pas de prise avec la réalité observée.
«Je suis un scientifique de terrain. Je suis dehors chaque jour, enfoncé dans la m... jusqu'au cou à récolter des données brutes. Et c'est pourquoi je suis si sceptique quant à ces modèles, qui n'ont rien à voir avec la science ou l'empirisme mais se contentent de torturer les données jusqu'à ce qu'elles se confessent. Aucun d'entre eux n'a prévu la période de refroidissement global dans laquelle nous nous trouvons. Il n'y a pas de problème de réchauffement climatique. Il a cessé en 1998. Les deux dernières années de refroidissement ont effacé presque trente ans d'augmentation de température.»
Mais au-delà du constat scientifique, l'universitaire entend aussi se livrer à une réflexion philosophique afin de cerner les causes d'une telle manipulation des esprits : «Quand j'essaye d'expliquer le réchauffement climatique à des gens en Iran ou en Turquie, ils n'ont pas la moindre idée de ce dont je parle. Leur vie se résume à survivre jusqu'au lendemain, à trouver leur prochain repas. La culpabilité écologique est un luxe de pays développé.»
En conclusion, l'auteur discerne donc parfaitement les enjeux idéologiques du procédé qui vise à parachever la destruction de notre civilisation et du socle sur lequel elle a été construite : «C'est la nouvelle religion de populations urbaines ayant perdu leur foi dans le Christianisme. Le rapport du GIEC est leur bible. Al Gore et Lord Stern sont leurs prophètes.» Faux prophètes peut-être mais dont les dégâts sont malheureusement bien réels.