La théorie du genre et l'onocratie !

Je laisse ce matin la parole à un lecteur fidèle, et à la plume plutôt caustique. Il ne recule pas devant la création de nouveaux mots, parfois cruels, quand ils permettent de mieux radioscoper les gens qui ont fait monter la température de son cerveau . Ainsi ce mot d'Onocratie, pas mal venu, mais que j'ignorais, ainsi d'ailleurs que le Larousse, et même le célèbre et très complet dictionnaire technique et critique de la philosophie du célèbre Lalande. Pour enrichir vôtre langue, lisez Le Scrutateur. (LS).

« J’ai fabriqué la théorie du genre sur mon idéologie, pas sur la science » regrette le père de la théorie du genre.

En conclusion, même si personne n’a la recette de la connerie, la connerie fait encore recette. Entre les cons vainquants et les cons vaincus, le vain est tiré depuis l’aube des temps (et des mœurs). N’oublions jamais que connerie et péché originel ne font qu’un.

Pour revenir au père de la théorie du genre, s’il y a plus de joie au ciel pour un pécheur qui se repent que pour un juste juste juste, il y en a déjà beaucoup sur terre pour les cons qui ne se doutent pas qu’ils sont complètement con. C’est la loi du genre.

« J’ai fabriqué la théorie du genre sur mon idéologie, pas sur la science » ? Puissante révélation ! Il est vrai que personne n’avait l’air de s’en douter. Au moins dans l’onocratie* des arts, de la culture, des médias, de la politique et de l’intelligentsia en général, universitaire ou non.

* onocratie, du grec ónos, âne(sse).

https://www.dreuz.info/2019/11/jai-fabrique-la-theorie-du-genre-sur-mon-ideologie-pas-sur-la-science-regrette-le-pere-de-la-theorie-du-genre-201255.html