21 Février 2023
1) les Bidens. 2) Cédant aux sommations de Djelinski, Biden (père) s'est rendu en Ukraine avec dix mille promesses. 3) C'est fou ce que la politique est tactyle de nos jours!
Si la politique imprudente (et impudente) des USA (et de leurs harquis, dont la France) devait engendrer un conflit élargi à l'Europe écervelée tout entière, je serais contraint de me voir engagé aux côtés de mon pays. Pas comme fantassin, évidemment car j'ai dépassé l'âge de cette forme du combat.
Je dis cela à l'intention de ceux de mes lecteurs qui pourraient croire que je suis du parti de Poutine qui, me semble-t-il, veut surtout répondre aux provocations des USA, lesquelsi ont vu d'un mauvais œil la fin de l'URSS les privant - du fait de la chute du communisme, - de l'instrument de chantage sur l'Europe menacée par les tanks de Staline, ont cherché à abattre Moscou, par d'autres moyens que l'envoi de GI.
La guerre froide, qui avait sa légitimité dans le contexte d'alors, aurait dû s'achever en 1991 n'ayant plus sa légitimité.
L'URSS étant redevenue la Russie, connut sa période noire dans un déclin perceptible, sous Brejnev, jusqu'à l'arrivée sur la scène mondiale de Vladimir Poutine, personnage intelligent qui entreprit une remise à flot de son pays. Il n'estimait pas souhaitable de reconstituer l'URSS qui avait été une catastrophe pour son pays. De bons résultats ne le poussaient pas sur cette voie, et il alla jusqu'à proposer aux européens l'adhésion de son pays aux européens sinon à l'Europe de Bruxelle, du moins à une forme de marché commun.
Cette tentative échoua. Les USA veillaient. Bruxelle c'est le contrôle des grandes nations européennes par Washington.
Or les USA visent eux aussi la conquête du monde par des moyens plus subtils que ceux du communisme d'hier.
On commence à s'en apercevoir : l'Amérique ce n'est pas la chrétienté en marche vers Jérusalem, même si la télévision française affirmait hier,lourdement, que BIDEN père était un catholique convaincu (sic).
On en rirait s'il ne s'agissait pas de cynisme éhonté.
Si Poutine n'est pas un enfant de choeur, Biden lui ? Homme d'affaires ?
C'est le moment pour ceux qui cherchent la vérité dans la masse des « informations » qui cyniquement tentent d'enfouir des faits sous le flot de la propagande.
J'en retiens ceux-ci qui troubleront les chercheurs naïfs n'écoutant que France Inter.
Lisez, ches amis, lentement, attentivement.
Le Scrutateur.
A l’époque, Joe Biden était vice-président de Barack Obama. Ce long article explique comment, dans la famille Biden, il y a le père qui prônait, aux yeux du monde, sa volonté de lutter ardemment contre la corruption en Ukraine, et de l’autre, son fils qui s’enrichissait dans une société gazière vérolée par la corruption :
C’est une longue histoire qui unie la famille Biden à l’Ukraine. Hunter Biden, le plus jeune des fils de Joe, a notamment beaucoup fait parler de lui lorsqu’il a intégré le conseil d’administration d’une société gazière ukrainienne (plus que douteuse), quand son père était vice-président d’Obama. Ironie du sort, au même moment, Joe Biden incitait les dirigeants ukrainiens, de l’époque, à accentuer leurs actions contre la corruption. Biden avait une telle influence en Ukraine qu’il pouvait faire virer le procureur Ukrainien qui enquêtait sur son fils (…)
Joe Biden a, donc, probablement utilisé sa position de vice-président, pendant la présidence de Barrack Obama, pour permettre à son fils Hunter de gagner des millions sur un système de commerce de gaz en Ukraine (…)
Durant son mandat en tant que vice-président d’Obama, Biden s’est rendu plus de dix fois en Ukraine. L’intérêt considérable que Joe Biden a porté à l’Ukraine, durant ce mandat, signifiait que l’attention des États-Unis à l’égard de ce pays serait instantanément accrue dès l’arrivée au pouvoir de la nouvelle administration présidée par Biden.
On ne saurait nier son influence sur la politique ukrainienne à l’époque … qu’en est-il aujourd’hui ?