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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Ce dimanche 05 février pause politique remplacée pour les curieux par l'un des plus grands joyaux de la musique occidentale  l'hymne à la joie, extrait de la 9ème symphonie de Beethoven exécuté par 10000 musiciens et chanteurs japonais. (A écouter et voir absolument).

Ce dimanche 05 février pause politique remplacée pour les curieux  par l'un des plus grands joyaux de la musique occidentale  l'hymne à la joie,  extrait de la 9ème symphonie de Beethoven  exécuté par 10000 musiciens et chanteurs japonais. (A écouter et voir absolument).

Lassé par la monotonie dans la violence (guerre en Ukraine, aspiration à la grève générale en France, etc, etc, j'ai décidé, sauf imprévu contraignant, de chomer demain dimanche, en ne publiant rien.

Je propose donc qu'on se retrempe l'âme en écoutant la divine musique qui suit. (LS).

 

https://www.youtube.com/watch?v=X6s6YKlTpfw

 

La 9ème symphonie

L'ode à la joie

Nom

Ludwig Van Beethoven

Epoque

1770-1827

Nationalité

Allemande

Profession

Compositeur

 

,Dés l'âge de 12 ans il compose sa première

œuvre musicale. Il est un excellent musicien (orgue,

piano) ce qui le mène dès 14 ans à donner des

concerts. Il part pour Vienne et y rencontre

Mozart.

À l'âge de 28 ans, il devient sourd, mais cela ne

l'empêchera pas de composer 9 symphonies et de

nombreuses sonates.

On ne sait pas vraiment combien de temps Beethoven a mis pour composer cette symphonie. Beethoven était un

fervent admirateur du poète Schiller dont il partageait les idéaux de joie, de nature, de fraternité entre les

hommes. Très jeune, il a souhaité mettre en musique son poème « L'ode à la joie ». Ce n'est que 30 ans après

qu'il présenta la 9ème symphonie.

Le jour de la représentation, Beethoven a mené l'orchestre. Enfin le croyait-il... A cette époque, il était déjà

pratiquement complètement sourd, ce qui risquait de perturber l'orchestre. Aussi, y avait-il un autre chef

d'orchestre que les musiciens suivaient, pendant que le compositeur battait la mesure tout à côté. A la fin du

concert, alors que les musiciens avaient cessé de jouer, lui poursuivait son concert ! Ce fut une artiste qui le fit

s'arrêter et se retourner afin qu'il reçoive l'ovation du public qui fit 5 rappels.

Cette œuvre est souvent considérée comme un grand chef-d'œuvre du répertoire occidental et l'une des plus

grandes symphonies et musiques de tous les temps.

 

Traduction en français des paroles de l'hymne à la joie :

 

Que la joie qui nous appelle

Nous accueille en sa clarté !

Que s éveille sous son aile

L allégresse et la beauté !

Plus de haine sur la

terre

Que renaisse le bonheur

Tous les hommes sont des frères

Quand la joie unit les coeurs.

Peuples des cités lointaines

Qui rayonnent chaque soir,

Sentez-vous vos âmes pleines

D un ardent et noble espoir ?

Luttez-vous pour la justice ?

Êtes-vous déjà vainqueurs

Ah! Qu un hymne retentisse

A vos coeurs mêlant nos coeurs

 

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C
Difficile de réaliser la force et la puissance de l'HARMONIE intérieure qui furent nécessaire à la composition d'une telle oeuvre . Avec si peu de notes finalement, mais toutes leurs variations, leurs accords, leurs silences et leurs soupirs. . . Mystère!<br /> C'est un chemin, une voie offerte aux autres par-delà le temps, une voie vers Dieu, inondée de soleil dans une gerbe de voix humaines : voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches ? .<br /> <br /> <br /> Devant cette splendeur de . . . simples vibrations de l'air, qui nous apaisent et nous enchantent, me reviennent en mémoire deux oeuvres du poète Charles Baudelaire; dont l'un, Correspondances où, <br /> "Comme de longs échos qui de loin se confondent<br /> Les parfums, les couleurs et les sons se répondent." . . . Une sorte de dialogue de la beauté<br /> <br /> Tandis que l'autre par des images évocatrices, par la sonorité des mots et l'alternance des vers, le rythme, la passion exprime l'accord même de la musique, avec les transports de l'âme humaine.<br /> Prenons le large, en haute mer, éclaboussés d'embruns irisés ?<br /> <br /> "La musique souvent me prend comme une mer !<br /> Vers ma pâle étoile,<br /> Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,<br /> Je mets à la voile ;<br /> <br /> La poitrine en avant et les poumons gonflés<br /> Comme de la toile,<br /> J'escalade le dos des flots amoncelés<br /> Que la nuit me voile ; <br /> <br /> Je sens vibrer en moi toutes les passions<br /> D'un vaisseau qui souffre ;<br /> Le bon vent, la tempête et ses convulsions<br /> <br /> Sur l'immense gouffre<br /> Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir<br /> De mon désespoir "<br /> <br /> <br /> Prions pour que cet hymne choisi par l'Europe, et les paroles de l'Ode à la Joie de Schiller, réveillent celle-ci dans un bouquet de nations, unies par une même inspiration pour le respect des" promesses de leur baptême". Fièrement dressées contre une forêt inextricable de malédictions destructrices, de litanies au saint néant et à la gloire du nombril humain.
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