28 Décembre 2022
Il ne faut pas être trop naïf (et pas naïf du tout d'ailleurs) en politique. Mais hélas ! Les masses sont plutôt crédules. « La guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens » disait Clausewitz, un spécialiste en stratégie, notamment, et inversement dirai-je.
Sans doute M. Poutine en déclenchant la guerre en Ukraine il a bientôt un an a-t-il voulu mettre en action la stratégie clausewitzienne. Et les Américains aussi par Zelinski interposée.
Depuis lors, dans les deux camps opposés la guerre s'est-elle imposée par les propagandes qui peut davantage encore que jadis avec le développement des moyens médiatiques.
C'est la raison pour laquelle, moi qui ne suit qu'un citoyen ordinaire, désireux toutefois de n'être pas transformé en petit pion de la propagande des adversaires je considère qu'aussi bien à Moscou qu'à Kiev, et surtout à Washington, tout n'est que propagande c'est-à-dire art de la manipulation. Celle-ci est active aussi bien à Moscou qu'à Waschington et dans les médias sensés être « objectifs » TOUT N'EST QUE PROPAGANDE.
Toutefois les manipulateurs sont conscients que dans le public tous ne sont pas aussi tébès (en créole : débiles, crétins) qu'ils pourraient l'espérer. Ils savent qu'il ne faudrait pas par un excès de zèle susciter le doute dans les larges masses populaires et faire surgir une méfiance source peut-être de renversement.
C'est ainsi je crois qu'il faut interpréter la dialectique de Biden (où de ses « conseillers » de l'ombre) lors du voyage de Zelinski à Washinton il y a deux jours.
Ecoutons très attentivement le propos du colonel Peer de Jong, spécialiste français de géopolitique au micro de LCI (beaucoup plus nuancé que lorsque l'interwiever est le pauvre Pujadas).
Lecteurs soucieux de rester lucides et de ne point plaquer sans réfléchir le vieux discours occidental valable il y a trente ans maintenant, écoutez attentivement.
Car « le monde et les temps changent » comme disait alors un célèbre artiste BON DYLAN (américain, chers lecteurs).
Le Scrutateur.