25 Novembre 2022
1) La célèbre bataille de Poitiers. 2) Image de la même bataille remportée par Charels Martel. 3) Jack Lang aujourd'hui Prédident du Centre culturel du monde arabe à Paris.
Ignorer l'’histoire, c’est s'apprêter à la revivre !
Un petit rappel d'histoire très intéressant, car jamais
étudié à l'école dans sa continuité et sa totalité.
C'est pourtant notre histoire ! gnorer l'’histoire, c’'est s'’apprêter à la revivre !
Un petit rappel d'histoire très intéressant, car jamaiudié à l'école dans sa continuitéest pourtant notre histoire !
Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714
dans ce qui était la France de l'époque.
Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur
base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des
razzias méthodiques.
Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725,
détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite
du Rhône jusqu'à Sens.
En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le
siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc
d'Aquitaine.
Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes.
Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et
écrasa l'armée musulmane, qui se replia en désordre sur
l'Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne.
On parle peu de cette bataille de Toulouse parce
qu'Eudes était mérovingien.
Les Capétiens étaient en train de devenir rois de France
et n'avaient pas envie de reconnaître une victoire
mérovingienne.
Les musulmans ont conclu alors qu'il était dangereux
d'attaquer la France en contournant les Pyrénées par l'est,
et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à
l'ouest des Pyrénées.
15.000 cavaliers musulmans ont pris et détruit Bordeaux,
puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers,
pour être finalement arrêtés par Charles Martel et
Eudes à vingt kilomètres au nord de Poitiers, en 732.
Les musulmans survivants se sont dispersés en petites
bandes et ont continué à ravager l'Aquitaine.
De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps
pour participer aux pillages.
Ces bandes n'ont finalement été éliminées qu'en 808,
par Charlemagne.
Les ravages à l'est ont continué jusqu'à ce
qu'en 737 Charles Martel descend, au sud, avec une
a r m é e p u i s s a n t e , e t r e p r e n d
successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde,
Béziers et met le siège devant Narbonne.
Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de
la France obligea Charles Martel à quitter la région.
En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa
définitivement les envahisseurs musulmans.
Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à
l'ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en
déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés,
et les femmes pour les introduire dans les harems
d'Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour
engendrer des musulmans.
La place forte des bandes se situait à Fraxinetum,
l'actuelle Garde-Freinet (le massif des Maures). Une
zone d'environ 10.000 kilomètres-carrés, dans
les Maures, fut totalement dépeuplée.
En 972, les bandes musulmanes capturèrent Mayeul,
Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genèvre.
Le retentissement fut immense.
Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une
sorte de campagne électorale pour motiver tous les
Provençaux, puis, à partir de 983, chassa
méthodiquement toutes les bandes musulmanes, petites
ou grandes.
En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient
ravagé la France pendant deux siècles.
La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle
s'exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias
effectuées à partir de la mer.
Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps
de castration en Corse, puis déportés dans les bagnes
du Dar al islam, et les femmes d'âge nubile dans les
harems.
Les repaires des pirates musulmans se trouvaient
en Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d'Espagne et
celles de l'Afrique du Nord.
Toulon a été totalement détruite par les musulmans
en 1178 et 1197, les populations massacrées ou
déportées, la ville laissée déserte.
Finalement, les musulmans ayant été expulsés
de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l'Italie et de la
partie nord de l'Espagne, les attaques sur les terres
françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer par
des actions de pirateries.
Ce n'est qu'en 1830 que la France, exaspérée par ces
exactions, se décida à frapper le serpent à la tête, et à
aller en Algérie détruire définitivement les dernières
bases des pirates musulmans. Ce fut l’origine et la
raison de notre présence en Afrique du Nord.
Vous savez ce qu'est devenue ensuite l'Algérie...
et l'histoire ne s'est pas figée...
Ce qu'il y a de frappant, c'est qu'entre 714, la première
entrée, et 1830, l'écrasement définitif des pirates
arabesques, il s'est écoulé plus d'un millénaire, ce qui
montre qu'ils ne renoncent jamais...
Et aujourd'hui, effectivement, ils reviennent en masse,
par le biais "pacifique" d'une immigration de
peuplement, qui exploite à fond les failles de nos lois,
de nos principes démocratiques, et de nos avancées
sociales...
Bientôt ils seront assez nombreux pour prendre
démocratiquement le pouvoir dans les villages, les
banlieues, les villes, les régions, les pays d'Europe !
Il ne faut pas croire ceux qui les décrivent
comme "modérés" !
Car les exemples des "printemps arabes" qui se déroulent
sous nos yeux en Tunisie, Libye, Egypte, montrent s'il en
était besoin que les "modérés" se font toujours évincer
par les enragés ! Qui ne cherchent qu'une
chose : appliquer la charia et transformer nos pays
d'Europe en un "Dar al Islam", une terre d'islam.
Il suffit de voir les exactions actuelles contre les
chrétiens d'Afrique du Nord, d'Egypte, d'Indonésie, du
Nigéria, etc. pour imaginer quel serait le sort réservé à
nos familles, à nos peuples européens de souche judéo-
chrétienne !
A méditer un peu. Non ?