28 Octobre 2022
Faut-il le répéter, ce blog dans le conflit ukrainien n'est pas un défenseur de M. Poutine. Mais pas non plus du clan adverse dirrigé avec ardeur par les USA.
Quand l'URSS stalinienne s'effondra en 1991, je me réjouis. Elle mourut sous les coups des pays non communistes au premier rang desquels les USA, mais aussi de son propre poison : l'idéologie marxiste-léniniste. Heureux fin à mesyeux !
Je ne m'illusionai nullement sur la suite : Les USA ne sont pas ce que leur propagande travaille à faire croire qu'ils sont : l'institutrice bienveillante et protectrice d'une humanité en gésine généreuse et … maternelle.
Prisonniers de l'époque bipolaire, beaucoup continuent de croire que rien n'a changé et que Washington est toujours l'alma mater. En fait, dès 1991 les américains ont cru devenir les maîtres (généreux, of course) du monde. A cette date la Chine n'avait encore atteint au stade où elle se trouve aujourd'hui celui d'un Etat National Socialiste (communiste dans son organisation intérieure, et capitaliste sur le plan économique et commercial). Nos américains, ennivrés par leur succès contre l'URSS, ont envisagé alors de devenir ce que leurs origines historiques leur enseigne : ce préchi/précha illuministe des pères fondateurs qui les pousse à croire qu'il créront le monde parfait.
En littérature si l'ex URSS est brillament décrite dans le roman 1984 d'Orwell, les USA le sont dans l'oeuvre d'Aldous Huxley Le meilleur des mondes.
Poutine en Russie comme tous les jeunes de sa génération, pour survivre est entré au parti communiste et comme il étéit intellignt il a été recruté par le KGB. Enseignement efficace, à condition d'en sortir. Il n'en sortit qu'à l'effondrement de 1991.
Après la parenthèse Brejnev, il devint le chef tenta des rapprochements avec « l'occident » qui s'avérèrent improductifs.
Les Usa qui ne lutaient pas seulement contre la communisme mais pour l'empire universel ont entamé de nouvelles voies d'assujettissement, par la culture (américaine : mac donald and co) et l'emprise par encerclement par le biais de l'OTAN.
C'est là l'une des raisons majeures de la réaction de Poutine qui a dit « il n'est pas question de laisser installer des ogives nucléaires à la frontière ukrainienne, c'est-à-dire à qutre minutes de Moscou » .
On sait la suite.
Et les pays européens, dont le nôtre, sous l'influence de l'Europe de Bruxelles, marchent dans la combine qui consistent à faire la guerre à la Russie sans envoyer de soldats d'ailleurs. Les USA se proposent de gagner … jusqu'aux derniers ukrainiens.
Ces choses là sont compliquées, il ne faut pas conclure trop vite et trop radicalement.
Mais il importe de ne pas se montrer trop bête et trop niais.
Le Scrutateur
L'idole des jeunes, Jo BIDEN un homme désorienté.
Lors d’un évènement organisé à la Maison Blanche, le président américain a semblé complètement déboussolé pendant plusieurs secondes, obligeant ses gardes du corps à l’accompagner vers la sortie.
« Où allons-nous ? » Alors qu’il participait à la plantation d’un arbre dans les jardins de la Maison Blanche le lundi 24 octobre, Joe Biden a semblé complètement perdu l’espace d’un instant. L’absence du leader du « Monde Libre » a fait beaucoup jaser sur les réseaux sociaux aux États-Unis, comme le relate BFMTV jeudi 27 octobre.
Celui que Donald Trump a surnommé « Sleepy Joe » en raison de son air lent est souvent attaqué sur son âge avancé, voire sa « sénilité ». Joe Biden fêtera en effet ses 80 ans le 20 novembre prochain. Il a récemment affirmé sa volonté de se représenter en 2024, ce qui pourrait l’amener à l’âge canonique de 86 ans à la fin de son second mandat.
Ces interrogations sont renforcées par les multiples absences du président américain. La semaine dernière, lors d’un discours en Pennsylvanie, le locataire de la Maison Blanche a semblé se retourner, dos à la foule, regarder dans le vide puis parler tout seul, avant de quitter la scène avec hâte.
Le mois dernier, Joe Biden s’est adressé à Jackie Walorski, une parlementaire républicaine décédée dans un accident de voiture au mois d’août. « Jackie, vous êtes là ? Où est Jackie ? », s’est-il interrogé en la cherchant du regard autour de lui. A la fin du discours, la porte-parole de la Maison Blanche Karine Jean-Pierre a répondu aux questions des journalistes et n’a pas échappé à leur interrogation sur cet incident. Ce à quoi la représentante a répondu : « Il pensait très fort à elle (…) Je ne trouve pas que ce soit troublant ». Mais malgré cet argument, l’état de santé du président américain semble de plus en plus poser question.