Macron reléverait-il de la psychiatrie ? Une analyse percutante.

1°) La psychopathie est un trouble de la personnalité caractérisé par des désordres émotionnels et des comportements antisociaux. Il ne s'agit pas d'une maladie mentale au sens strict du terme : contrairement à la psychose, la psychopathie n'affecte pas la rationalité du sujet ou la conscience de ses actions <br /> 2°) Avant de tout faire débuter avec "Brigitte", il faudrait peut-être s'interroger sur les relations avec les parents, que tout le monde cache soigneusement, en public, jouant les rôles de "tout le monde il est bon, tout le monde il est gentil" et dont il ne faut surtout pas parler ! <br /> <br /> Une mère PN, détruit sa famille et ses enfants, par un refus catégorique de donner ou même de recevoir des marques d'affections, de soutien (voire témoigne du contraire) entrainant chez eux la perte d'estime de soi; Provoquant l'enfermement, donc la désocialisation, désintérêt pour la vie, jusqu'à la TS ainsi qu'à des psychoses. Tout cela se déroule et se répète, sciemment, en absence de témoin et conduit à une "insensibilisation", une indifférence stratégique d'évitement chez la victime, ainsi que l'anxiété et de la dépression; devant être traitées.<br /> <br /> Toute la vie, même adulte, est un combat contre cette personne, qui ne prend fin qu'avec sa mort. <br /> mensonges, manipulations, vols et fouille dans les documents personnels, en absence du propriétaire,<br /> mauvaise foi pour avoir le dernier mot. Voulant commander chacun . . . mais incapable d'assumer une vraie difficulté<br /> <br /> Difficile d'expliquer à une personne étrangère, car c'est la répétition incessante des paroles et processus dévalorisants, dès l'enfance, qui aboutit à ce que la victime ne sache finalement plus qui elle est pour qu'on puisse, la réduire à un état de culpabilité permanente et silencieuse.<br /> C'es un peu la mécanique, selon René Girard, du rite du bouc émissaire..<br /> <br /> Le bouc émissaire humain n’est pas tiré au hasard ; c’est un personnage que ses qualités victimaires prédisposent à occuper la fonction de bouc émissaire, qui doit correspondre à certains critères :<br /> - Premièrement, il faut que la victime soit à la fois assez distante du groupe pour pouvoir être sacrifiée sans que chacun se sente visé par cette brutalité et en même temps assez proche pour qu’un lien<br /> cathartique puisse s’établir (on ne peut expulser que le mal qui est en nous...).<br /> -Deuxièmement, il faut que le groupe ignore que la victime est innocente sous peine de neutraliser les effets du processus.<br /> -Troisièmement, le bouc émissaire présente souvent des qualités extrêmes : richesse ou pauvreté, beauté ou laideur, vice ou vertu, force ou faiblesse. Enfin, la victime doit être en partie consentante afin de transformer le délire de persécution en vérité .<br /> <br /> Par la PN ( avec un important complexe d'infériorité) la victime n'est pas tuée littéralement, mais dépersonnalisée, incapable de se construire, de se choisir, d'avoir une attitude ferme et un avis clair, maintenus.<br /> <br /> Toutes les familles ne sont pas saintes, certes, mais la psychiatrie n'est pas faite que pour "les fous"<br /> Les troubles naissent souvent de difficultés de relations précoces, qu'il serait bon de détecter assez tôt pour une meilleure socialisation. Cela est loin d'être accepté .