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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Les méfaits de l’idéologie du genre. (L'histoire d'Anna).

Les méfaits de l’idéologie du genre. (L'histoire d'Anna).

Nous vivons une époque esclavagisée par les idéologies. En Europe notamment et particulièrement en France. Ces idéologies politiques sont graves et peuvent être mortelles. Nul jeune n'est à l'abri de ces propagandes. En Guadeloupe comme ailleurs.

L'histoire d'Anna (ci-dessous) est bien représentative de ce qui mine l'actuelle génération. (LS).


 

L'histoire d'Anna :


 

(https://www.lesalonbeige.fr/les-mefaits-de-lideologie-du-genre/ )


 

Sacha est né Anna. Il était femme mais s’est vite ressenti « garçon manqué », confie-t-elle. Nous sommes en 2016. En regardant des vidéos sur YouTube, elle entend parler pour la première fois de transidentité. « Je me suis dit : Ça ressemble à toi. » Au début de la 3 e, à 14 ans, elle coupe ses cheveux et demande à ses amis de l’appeler avec un prénom masculin. Un soir, elle annonce à ses parents qu’elle veut prendre des hormones masculines. Ses parents l’écoutent, bienveillants.

« Sauf que j’avais 14 ans et écouter à ce point ce que dit quelqu’un de 14 ans, ça pose problème ».

Puis tout va très vite : le psychiatre qu’elle va consulter, les séances « expéditives » de cinq à dix minutes qui ne servent qu’à confirmer son choix.

« À aucun moment les raisons profondes qui me poussaient à changer de sexe n’ont été abordées. »

À la fin de la seconde débutent les premières injections de testostérone, une ampoule toutes les trois semaines. Tous les matins, elle enfile un binder (sous-vêtement compressif permettant d’aplatir la poitrine). À l’état civil, pour le lycée, ses proches, sa famille, Anna devient Sacha. L’été avant la terminale, elle se fait retirer les seins sous anesthésie générale. Après l’opération, âgée de 16 ans, elle porte un corset postopératoire, prend des comprimés antidouleur et, soudain, des questions l’assaillent.

« Il y avait comme une voix bizarre en moi. Un truc qui me demandait : Est-ce que tu détruis ta vie ? Est-ce que tu détruis ton corps ? »

Un jour, en 2020, les doutes remontent d’un coup. Pendant deux ou trois mois, elle pleure nuit et jour.

« Je pleurais le matin dans le RER, mais aussi pendant les cours, le soir aussi. Je m’enfonçais dans un truc affreux. Je me disais que je ne pourrais jamais revenir en arrière. »

Pétri de regrets, hanté par les pensées suicidaires, elle arrête les injections de testostérone, s’enfonce dans la dépression. Ses parents, inquiets, l’emmènent voir une autre psychiatre. Elle lui sauvera la vie.

« J’ai décidé d’être une fille biologique qui a un style masculin. J’ai envie de m’aimer moi-même. J’ai des regrets, mais je peux vivre avec ».

Anna a compris qu’elle nourrissait, adolescente, une forme de « misogynie intériorisée » et que « la puberté, ce n’est pas la période idéale pour faire de tels choix ». Mois après mois, elle récupère sa féminité. Ses règles sont revenues. Elle a retrouvé ses longs cheveux, mais il ne retrouvera jamais sa voix de femme.


 

 

 

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C
Autre approche intéressante aussi, celle de Jean-Pierre Winter, dans un entretien avec Causeur, sur la transsexualité : où ils parlent de ces adolescents qui reprochent ensuite à leurs parents, de les avoir écoté et de leur avoir cédé <br /> https://www.causeur.fr/dysphorie-de-genre-enfants-transition-psychanalyse-autorite-paternelle-novlangue-234191. Il
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C
Ce qui est grave, c'est le terme de séances "expéditives" dans les rencontres avec le psychiatre. Parce que le rejet de son corps ,ici féminin, peut très bien naître de difficultés dans les relations familiales et par exemple d'une image totalement négative du parent de même sexe; ici la mère.<br /> <br /> Mais il faut le questionnement judicieux ,l'écoute et la patience d'un bon psychiatre, pour discerner les conséquences et les soigner, des causes véritables qui pourraient avoir entrainé ce rejet.<br /> Par exemple le "modèle féminin "que représente une mère perverse narcissique, et son action dans le milieu familial ;peut conduire à des troubles allant jusqu'à la dépersonnalisation, avec une dissociation dans laquelle le "mental" refuse de se vivre dans un corps de femme, qui lui devient indifférent ou qu'elle veut changer <br /> Ou encore si l'apparence de ce corps est trop souvent dénigré, bafoué ,moqué ,méprisé insulté, atteignant ainsi l'estime de soi de la personne, qui espère donner alors une autre image d'elle-même (le regard de l'autre)<br /> <br /> Le malheur est que les parlementaires ont voté, récemment, une loi qui s'oppose, précisément, à un traitement psychologique de ces vécus et favorise donc les opérations et actions biochimiques pour changer les caractères sexuels, secondaires .essentiellement. <br /> Or nous ne sommes pas homme ou femme que par ces caractères. TOUTES les cellules d'un même corps sont masculines ou TOUTES féminines ,de même que les relations entre ses cellules.; par diverses substances. Donc c'est TOUT notre corps qui est masculin ou féminin.<br /> Parler d'une sensibilité féminine et d'une sensibilité masculine n'est pas une vue de l'esprit et conduit à des approches différentes de la vie, des relations humaines, de l'autorité et de l'ordre, etc.<br /> <br /> La mode actuelle tient absolument à les présenter dans l'antagonisme et la dominance , pour exiger la sacro sainte "égalité" homme-femme, voie vers l'indifférenciation,, alors que ces approches sont belles dans leur complémentarité.<br /> Je me demande comment pourrait se reproduire l'ADN, tant in vivo qu'in vitro, s'il n'y avait la complémentarité des bases? <br /> <br /> Un M. de la Motte ,il me semble, a exprimé si bien ces choses, il y a si longtemps . . .mais ceux d'aujourd'hui ont la science infuse !<br /> <br /> "Donnez le même esprit aux hommes, vous ôtez tout le sel de la société. <br /> L'ennui naquit un jour de l'uniformité.”
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