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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Encore une horreur qui se pointe en silence!

Encore une horreur qui se pointe en silence!
Encore une horreur qui se pointe en silence!

publie avec mon approbation complète. Le Scrutateur.

 

 

 

Le président de la république française a souhaité intégrer la reconnaissance du droit à
l’avortement dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.

En réaction, la fédération européenne « Un de Nous » (One of Us) a écrit à notre
président une très belle lettre demandant le respect du caractère sacré du droit à la vie
de chaque être humain, lui rappelant que la Charte des droits fondamentaux de l’Union
européenne ne peut contredire la Déclaration universelle des droits de l’Homme et les
différentes conventions internationales consacrant le droit fondamental à la vie.

Cent trois organisations européennes, dont Femina Europa, soutiennent cette initiative.
La lettre a déjà été publiée dans plusieurs pays d’Europe.
Nous vous la transmettons, et vous proposons de la diffuser, afin de palier le
silence médiatique en France.

En vous remerciant, croyez en notre entier dévouement.

Anne Girault, Présidente de Femina Europa.

 


Vous pouvez retrouver cette lettre sur le site de One of Us

Monsieur le président de la République française,

Alors que l’Est de l’Europe est entrée en guerre, vous contribuez à montrer l’importance de l’Union européenne. L’unité de l’Europe doit faire appel aux vraies valeurs qui ont fait son histoire.

Or, en lançant la Présidence française de l’UE, vous avez proclamé votre souhait d’intégrer le droit à l’avortement dans la Charte européenne des droits fondamentaux. Vous vous trompez : un tel objectif ne peut que diviser et entraver le destin de l’UE.

Nous, citoyens européens ayant signé ONE OF US (l’Initiative citoyenne européenne qui a rencontré le plus grand succès populaire, avec près de 1,9 million de signatures), nous refusons cette proposition. Avec recul, les reniements successifs des gouvernements et législateurs de nombre
ux États membres sur la question de la vie donnent le vertige.

Devons-nous, Monsieur le Président, vous rappeler les textes nationaux, européens et internationaux dont la France et les autres États membres sont signataires, et qui s’opposent frontalement à une telle évolution ? Comment peut-on envisager de mettre ainsi de côté la Déclaration universelle des Droits de l'Homme de 1948, proclamée par l'Assemblée générale des Nations Unies, qui assure la reconnaissance autant que l'application universelle du droit à la vie et de « la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine », sans distinction qu’ils soient nés ou en gestation ?

Avez-vous oublié la Convention de Rome de 1950, voulue par les pères fondateurs, pour la sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales qui garantit le droit de toute personne à la vie et le fait que la mort ne peut être infligée à quiconque intentionnellement ?

Avez-vous oublié que la Convention internationale des droits de l’enfant, adoptée par l’ONU en 1989, dispose que « L’enfant (…) a besoin d’une protection spéciale (…), notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance » ?

Comment pouvez-vous céder aux pressions des lobbies, en faisant fi de ces textes dont la France et l’Europe, que vous représentez l’une et l’autre, sont signataires ? Au titre de quelle prérogative osez-vous maltraiter ainsi les droits de l’Homme ? Comment pouvez-vous oublier que l’avortement c’est la mort d’êtres humains ? Comment pouvez-vous envisager d’imposer à tous les Etats membres le non-respect de la vie comme principe fédérateur ?

Il est du devoir de tout pouvoir d’État de protéger la vie humaine. Oui, la loi garantit le respect de l'être humain dès le commencement de sa vie. La dépénalisation de l’avortement est secondaire par rapport au droit à la vie : tous ces textes que la France et l’Europe ont signés l’expriment. Le droit à la vie physique est le premier des droits fondamentaux. Il serait contre nature et absolument paradoxal d’inverser ces repères.

Devons-nous nous faire biologistes pour vous rappeler que la vie humaine commence dès l’instant de la conception, à la fusion des gamètes, et qu’il n’y a pas de différence substantielle mais seulement une différence de développement entre le zygote qui apparaît immédiatement après la fécondation, le fœtus et le nouveau-né à la naissance ? Sur le plan biologique, il s’agit bien d’une vie humaine, d’un être humain vivant.

Alors oui, s’il le faut, nous nous ferons tour à tour philosophes, historiens, biologistes, mais aussi avocats de la vie pour combattre cette erreur anthropologique fondamentale qui consiste à faire d’un drame une valeur. Non le crime contre l’enfant à naître n’est pas un droit à conquérir. En revanche oui l’avortement a profondément dénaturé les droits de l’Homme, droits fondamentaux auxquels nous adhérons universellement.

L’avortement brandi comme valeur laisse chaque année des milliers de femmes dans le désarroi, sans alternative à l’interruption de grossesse. Ce sont ces alternatives que l’Europe devrait prioriser. En les sommant d’exercer un droit présenté comme une chance, la société les abandonne avec leur souffrance et la blessure d’avoir recouru à cet acte qui peut détruire et abîmer aussi la vie des femmes.

Monsieur le Président, la seule considération de la dignité et du respect de toute vie humaine doit toujours guider vos actions dans la présidence que vous occupez. Elle donne une limite objective à votre liberté et à votre pouvoir. Nous citoyens européens voulons pouvoir compter sur la démocratie pour que nos représentants n’instrumentalisent pas le pouvoir dont ils sont dépositaires, afin de nous imposer, contre notre conscience, et contre tout processus démocratique, une idéologie mortifère.

Si ce n’était pas le cas, nous nous mobiliserons, car protéger les plus vulnérables n’est pas une option. Nous voulons construire une Europe vraiment humaine. Nous espérons que vous saurez l’entendre.

Veuillez recevoir, Monsieur le président de la République, l’expression de nos respectueuses Salutations.

 

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C
Bonjour Mr Boulogne,<br /> Aurons nous des limites en matière de population ?<br /> Tant pis si je suis un monstre cynique...mais je m'interroge sur nos dirigeants épurateurs ...<br /> Depuis 47 ans, " 9.400.000 " avortés, au bas mot et pas des moindres, rien que dans l'hexagone, nous contemplent en sous-sol, se lamenter sur les quelques milliers de victimes en Ukraine .<br /> Sommes nous donc si sensibles à la valeur de la Vie et de la misère Humaine dans le Monde ; en même temps, nous prions nous ne savons plus quel bourreau de se calmer urbi et orbi !<br /> Bon dimanche à tous .<br /> Cdlt Cjj.
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C
Récemment un article expliquait comment cette même Europe faisait un chantage aux subventions, aux pays ACP, pour leur imposer l'avortement. Par ailleurs, on vient d'apprendre que l'état de Californie souhaitait autoriser l'infanticide pendant la première semaine après la naissance. . .Et pourquoi pas jusqu'à la puberté ? Et pourquoi pas après ? Pourquoi s'arrêter ?<br /> <br /> Hélas, la perception scientifique, depuis les hypothèses évolutionnistes, est purement matérialiste et, comme toujours dans cet univers, quantitative et non qualitative., se rapprochant davantage des visions économistes et productivistes. En conséquence, le succès de l'Homme dans la nature le conduirait à devenir un danger, tant pour les autres espèces que pour les milieux, naturels comme le développe M André Boyer dans un article<br /> <br /> (http://andreboyer.over-blog.com/2017/03/l-extinction-de-l-espece-humaine.html)<br /> <br /> "sur la base de données bien étayées pour les plantes, les vertébrés et quelques groupes d'invertébrés, la majorité des spécialistes estiment que le taux d'extinction actuel des espèces est mille fois supérieur au taux naturel, étayant la thèse d’une sixième crise d'extinction IMPUTABLE AU DEVELOPPEMENT DE L'ESPECE HUMAINE, en effectif et en activités."<br /> <br /> La "subtilité" du raisonnement est de laisser croire que cette dite-sixième crise d’extinction des espèces conduira inéluctablement à terme à la disparition de l’espèce humaine, en quelque sorte, pour que d'autres puissent se développer... Nous sommes coupables de tout : du réchauffement climatique, de la fragilité des écosystèmes, de la disparition des espèces. Peut-être même un jour nous reprochera - t - on d'avoir mis au point des vaccins évitant les destructions massives des épidémies, ou des médicaments conduisant à une espérance de vie record en Europe ?<br /> <br /> <br /> "On sait bien que l’appétit individuel des êtres humains, ou leur soif de vivre, fait obstacle à ce processus de limitation de l’expansion humaine. Pour freiner le rythme de cette évolution, l’humanité saura t-elle limiter sa croissance démographique, sa consommation afin de protéger les écosystèmes ou non ?"<br /> <br /> Dans un complet renversement de la morale, (tu ne tueras pas), l'avortement serait alors habilement présenté comme un moyen de "sauver" l'espèce humaine d'une extinction inéluctable. L'idée même de dignité humaine a disparu des instances qui nous gouvernent. Nul pour se dire qu'avant d'aller récolter des cailloux sur la Lune ou sur Mars, il était préférable d'améliorer les conditions de vie sur notre planète et qu'avant la conquête de l'espace, venait celle des déserts; ou des" diagonales du vide" pour ne parler que de la France. Nul non plus pour rappeler que les milieux et les espèces s'adaptent au cours du temps, conformément aux lois de l'écologie. <br /> Pour l'instant, les seules hypothèses à une disparition simultanée de nombreuses espèces sont des évènements géologiques MAJEURS, de grande ampleur.<br /> <br /> <br /> Mai l'Homme n'apparait plus "à l'image de son Dieu créateur" comme dans le livre de la genèse, mais un échantillon d'une espèce de la biosphère, dont on peut "raisonnablement" discuter des effectifs et de la concurrence exercée sur les autres espèces . . .Donc de sa nécessaire limitation !<br /> Un jour viendra où la loi humaine ne condamnera plus les criminels, qui feront oeuvre utile ?
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