20 Février 2022
Hier soir, 19 février, M. Bruno Magras, récemment encore Président de la collectivité de St-Barthélémy annonçait, sur Guadeloupe la première, avoir accordé son soutien d'élu à Eric Zemmour pour qu'il puisse se présenter à l'élection présidentielle.
Aussitôt, le journaliste rétorquait, vaguement fébrile : « mais il est raciste, il a été condamné pour cela ». Je connais ce journaliste, il est l'un des meilleurs de la station (ou l'un des moins mauvais, comme vous voudrez). Mais comme vous ou moi, il a ses défauts. Lui-même a sûrement, comme chacun été victime de calomnies ou d'autres avanies. Peut-être même de « racisme ». Allez savoir.
Toujours est-il que Bruno Magras est resté impavide sous le soupçon, sans doute vacciné par la tourbe des maîtres-chanteurs des Domota et N'Tuomo.
L'abus de cette insulte est en train de la dévaluer ainsi qu'une bonne partie du vocabulaire populacier de la politicaillerie dans le monde, sutout occidental.
Ainsi tous ceux qui se distinguent par leur opposition aux mouvements extrémistes par une certaine liberté d'esprit sont accusés d'être « d'extrême droite » (c'est-à-dire des nazis, évidemment) des « blancs » couleur épidermique devenue diablolique et hitlérienne.
Malheur aux noirs, ou aux jaunes, ou aux métis qui refusent de se laisser manipuler par la tourbe, les voiçi rangés dans la masse indifférenciée du mal dont en France, Eric Zemmour serait devenu le symbole absolu.
C'est le sort que semble devoir subir le jeune Tanguy David (dont Le Scrutateur a récezmment parlé : http://www.lescrutateur.com/2021/12/tanguy-david-le-zemmourien-va-facher-jean-luc-melenchon-lilian-thuram-rokhaya-diallo-et-tutti-quanti.html ).
L'article qui suit nous rappelle que ce jeune a du caractère et qu'il n'a pas l'habitude de se laisser faire par la meute. Un bel exemple pour tous les journalistes de Guadeloupe la première (Le Scrutateur).