Nègres de blancs (nèg à blans) : Albert Batihe démasque le satanisme raciste.

"An tan lontan", une mésaventure similaire avait marqué l'actrice ,martiniquaise il me semble, France Zobda (la bien nommée) lors d'un tournage de film dans un pays d'Afrique .Le féminisme n'en ayant pas encore atteint les rives, elle ne retrouva respect et dignité qu'en proclamant haut et fort qu'elle était FRANCAISE, la conduisant aux mêmes conclusions qu' Albert Batihe sur les différences, qu'il faut<br /> bien appeler de civilisation.<br /> <br /> Tout aussi savoureux, Dominique Sopo, Président de SOS Racisme, vient d’être renvoyé en correctionnelle pour… « injures racistes » !<br /> En 2020. Yassine Bellatar,, estime que Jean Messiha, (alors RN) , a une « tête de chameau », eu égard, on imagine, à ses ascendances égyptiennes. Immédiatement, l’offensé en appelle à SOS Racisme par tweet interposé : « Allô, SOS Racisme, allo LICRA. Je suis victime de propos racistes sur Twitter. Vous pouvez vous constituer partie civile avec moi ? #LeRacismeNePasseraPas. » Dans la foulée, Yassine Bellatar retweete : « Jean, mon Chameau, j’ai parlé au zoo de Thoiry. Ils sont OK pour que tu fasses ton prochain meeting avec ta tête. »<br /> <br /> Le tweet de Dominique Sopo, en réponse, pose problème à une Justice plus que respectueuse sur le sujet ; et, surtout, à Dominique Sopo lui-même, en tant que président de l’association trotsko-mitterrandienne fondée par Harlem Désir et devant laquelle toute la droite d’alors s’était quasiment prosternée : <br /> « Cher Jean Messiha, je pense que la LICRA serait heureuse de se constituer auprès de SOS Racisme afin de mettre fin à l’odieuse comparaison entre vous et un chameau. Cette comparaison est infamante pour les chameaux. Soyez certains que nous ne laisserons pas passer. Bisous. »<br /> Encore un antispéciste ?<br /> <br /> En mars 2021, Dominique Sopo se retrouve donc accusé « d’injure publique envers une personne à raison de son origine ou de son appartenance ou de sa non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». D’où le renvoi de l’insulteur en correctionnelle plus haut évoqué et qui pourrait lui valoir, aujourd’hui, jusqu’à douze mille euros d’amende.<br /> <br /> De quoi faire réfléchir ce grand moraliste et donneur de leçons. (Extrait de Boulevard Voltaire)