9 Février 2022
« L'histoire disait Paul Valéry est le produit le plus dangerux que l'alchimie de l'intellect ait élaboré ». Certes l'histoire n'est pas une science exacte à l'instar des Mathématiques, mais malgré mon admiration pour Valéry, je ne souscris pas sans réserve à son propos.
Pour mériter le titre d'historien, il faut avoir fait de solides études, avoir beaucoup travaillé, avoir frotté son esprit à ceux d'autres chercheurs valables. Mais aussi, et peut-être surtout être un honnête homme. L'historien véritable est modeste aussi, mais il est peut-être surtout l'ennemi des manipulateurs ( parmi lesquels des malades mentaux, souvent politiciens qui cherchent par le trucage des évènements à soulager leurs malaises intérieurs).
L'actualité nous le rappelle sans cesse, d'où ma décision de rééditer cet intéressant article sur un procès intenté à un propriétaire d'esclaves en Guadeloupe, en l'année 1829.
Le Scrutateur.
QUAND DES MAÎTRES NÈGRES TUAIENT LEURS ESCLAVES EN GUADELOUPE
Je n'aurais sans doute pas pensé à publier cet article sur une période historique ancienne ( et douloureuse pour une conscience fine et sensible ) si chaque année, au mois de mai, en Guadeloupe ( et … ailleurs, en occident ) des exploiteurs de l'histoire, avec la complicité de lobbies médiatiques connus, ne tendaient à des fins ressortissant au commerce politicien, ne les exploitaient de façon éhontées.
Ma publication est donc d'ordre moral et en quelque sorte prophylactique.
L'étude sérieuse de l'histoire doit être complète, équilibrée, orientée vers la vérité.
Une précision s'impose : Les propriétaires de Bologne, actuellement n'ont rien à voir avec monsieur Amé Noël.
Et Bologne n'a rien à voir avec … BoUlogne. OK ? Hein? Bon ! ( PSC ).
Le Scrutateur.