3 Juin 2021
Assez naïvement, il y a trois jours, j'écrivais que le « mai de LA mémoire » arrivait à son terme jusqu'à l'année prochaine. Naïvement, oui, et l'on ne se refait pas. Je m'aperçois depuis que j'avais sous-estimé la sottise, et/ou la perversité de cette petite minorité de malades qui tentent de faire perdurer le souvenir d'une tragédie à son profit financier et surtout politicien.
S'il importe (comme je m'efforce de le faire) de garder son sang froid face à la racaille il faut faire en sorte que les souvenirs loin de nous esclavagiser dans le passé nous rendent plus forts, accroissent en nous la capacité de résilience. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Il faut donc parler fort et vrai
Merci à l'historien guadeloupéen Frédéric Régent, professeur à la Sorbonne, d'indiquer à chacun d'entre nous, quelque ait été son appartenance à l'époque, le chemin de la paix et de l'équilibre intérieur.
Le Scrutateur.
Voici le lien avec l'interview de Frédéric Régent /