4 Février 2021
J'aurais pu intituler cet article Paroles de cynique. J'ai préféré « salaud » parce que le mot est plus clair pour le public que « cynique ». Comme le précise le dictionnaire Robert « Cynos signifie chien ; cynisme, acte de chien ».Trop deuxième degré, Et puis pas gentil pour les chiens qui sont au-delà ou en-deça des salauderies de nôtre intelligentsia bobo-gaucho.
Et salope, alors ? J'hésite d'abord à attribuer le qualificatif à Léa Salamé. Résidu en moi du séculaire appel de l'Eglise catholique au moyen-âge instaurant la mode de la courtoisie envers les femmes qui furent d'abord traitées comme des chiens après la chute de l'empire romain et le triomphe de la Barbarie qui s'ensuivit ?
J'ai maintenu mon choix car Léa Salamé est le porte-parole pleinement consentant de l'idéologie bobo-gaucho.
Il fallait la voir, il y a quelques années dans une émission analogue à celle qui suit, interrogeant le philosophe Alain Finkielkraut : agressive, ironique, insolente.
Avec Olivier (Duhamel) c'est différent : tout sucre et miel, sourire de connivence, prévenance, et tutti-quanti.
On est dans l'entre-soi.
Jugez-en, c'est le premier lien.
Je fais suivre par un deuxième lien où Xavier Rauffer analyse l'affaire Duhamel à la lumière de Mai 68.
C'est court, mais extraordinairement suggestif.
Ecoutez.
Le Scrutateur.
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(I) Léa Salamé questionne Olivier Duhamel. https://www.youtube.com/watch?v=JNIvxuWxH4I
(II) Rauffer : https://www.youtube.com/watch?v=Qs9hLRs8ou4 ).