6 Septembre 2020
Tout en donnant sur mon blog la place justifiée à l'information officielle sur la lutte contre l'expansion de l'épidémie, et en me soumettant personnellement à la discipline désagréable du port du masque, j'ai assez tôt publié des réserves - indispensables pour la santé psychologique, - de personnalités, en particulier du monde médical (pas seulement français) sur la marche à suivre officielle.
C'est qu'il faut s'inquiéter des conséquences, parfois redoutables des engouements positifs ou négatifs, comme de tous les mouvements de masses. Surtout quand il s'agit du phénomène épidémique (épidémies physiologiques -jadis la peste- naguères encore Ebola, épidémies psychiques comme en Allemagne nazie ou communistes) qui dégénèrent souvent en recherches de coupables, les juifs, les bourgeois, les békés, etc, ou en abus des autorités officielles qui peuvent saisir l'occasion de se poser en détentrices « paternalistes » des seules voies du « salut » commun.
Je demeure sur ma ligne, à la fois « légitimiste » et en même temps (comme dirait je ne sais plus qui) sceptique méthodique, en bon « philosophe » que j'essaye d'être.
Le lien qui suit participe de ce scepticisme méthodique.
Au premier rang des participants du débat, un médecin le professeur Oliviers de Soyres à la fois modéré et légitimement réservé, comme, me semble-t-il, il convient.
Le Scrutateur.