16 Septembre 2020
Dieu merci, en tant que Français je ne suis pas exposé à avoir à choisir entre Donald (le fantasque et plutôt hurluberlu Trump) et le lugubre et terne Joe Biden sensé représenter la gauche américaine, personnage terne et exsangue, dont la soumission aux idéologies les plus « sidaïques » est visible au premier regard.
Mon drame à moi se situera en 2022 au moment de nôtre élection présidentielle. Si rien ne change. Mais l'espérance est un devoir. A lire la presse française, à écouter les médias qui occupent le devant de la scène, aux USA, et tout autant en France, Trump ne peut pas ne pas perdre.
Aux spéculateurs il faut toutefois conseiller la prudence. Le magazine Slate, dont je publie à votre intention l'article qui suit, affirme qu'il ne faut pas laisser leurer. Rien n'est probablement joué.
Slate écrit « Dans les heures qui suivirent la victoire de Trump à l'élection présidentielle américaine de 2016, le Washington Post publia un éditorial saignant de réalisme quant à la manière dont les médias anglo-saxons, et tout particulièrement américains, avaient traité la campagne de Trump.
Cet éditorial au titre révélateur («The media didn't want to believe Trump could win. So they looked the other way» [Les médias ne voulaient pas croire que Trump pouvait gagner. Ils ont donc regardé dans l'autre direction]), listait un ensemble d'erreurs révélatrices des multiples biais cognitifs auxquels avaient cédé les journalistes ».
Jugez vous-même. (LS).
Imaginons qu'il faille, en ces temps pour le moins troublés de pandémie mondiale, choisir une personne pour diriger la planète, et que trois options s'offrent à vous:
La première travaille avec des politiciennes et des politiciens véreux, consulte des astrologues, a deux maîtresses, fume plusieurs paquets par jour et boit entre huit et dix Martinis par jour.
La seconde a déjà été renvoyée deux fois, ne se lève pas avant midi, a fumé de l'opium à l'université et boit une bouteille de Brandy tous les soirs.
La troisième, végétarienne et non-fumeuse, a été décorée pour faits de guerre. Elle ne boit que très occasionnellement de la bière, et n'a jamais eu d'histoires extraconjugales.
À lire ces descriptions, le choix de la troisième paraît assez évident, n'est-ce pas? Et pourtant… La première personne est Franklin D. Roosevelt, la deuxième est Winston Churchill, tandis que la troisième n'est autre qu'Adolf Hitler.
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