10 Septembre 2020
Chez nous, en Guadeloupe, on a osé parler de ces deux très jeunes garçons (ils s'y sont mis à deux pour assassiner un autre du même âge de façon très « courageuse et délicate », pour un « mauvais regard » lancé, disent-ils monsieur le commissaire qui ont assassiné un camarade du même âge.
L'un a planté un tournevis dans la tempe du regardant, et l'autre moins téméraire se contendant de marteler le corps de la victime agonisant sur le sol, de furieux coups de pieds.
Au moins, en Guadeloupe on en a parlé.
La Guadeloupe n'a pas le monopole de ces exploits juvéniles.
Mais puisqu’il est interdit, dans ce qui fut la France, d’appeler un chat un chat, il serait bon d’éviter - tant que ce n’est pas encore consacré par l’uniformité démographique - de laisser entendre que les pratiques de sauvages sont à la mode chez... LES adolescents. Pourquoi cette généralisation? D’autant que le vocabulaire consacré sait utiliser la litote pour désigner par « les jeunes »... ceux que l’on sait (et qu’il est aussi interdit de nommer que de ... représenter le prophète). Il est vrai qu’en haut lieu le mot « ensauvagement » pour l’impulsion donnée par « les jeunes » à l’ambiance urbaine provoque des émois de chochotte chez les esprits délicats. (LS)
https://www.lci.fr/police/reims-video-d-une-adolescente-rouee-de-coups-trois-mineurs-interpelles-schiappa-denonce-des-images-inqualifiables-2164058.html