22 Août 2020
Face à l'épidémie actuelle je me suis jusqu'à présent soumis aux recommandations des pouvoirs publics, eux-mêmes se référant aux déclarations du monde médical. Je pratique donc le port du masque, et sur ce blog j'ai appuyé au nom du « bon sens » les directives officielles.
Toutefois assez tôt j'ai éprouvé quelques scrupules de conscience. Le rôle d'un blogueur, surtout s'il est de formation philosophique, attaché au doute méthodique cher à Descartes, n'est pas de dire « amen » à tout ce qui se dit, fut-ce par des sommités.
Tout en gardant ma ligne générale, j'ai entrouvert quelques pistes de réflexion calmement dissidentes (comme celle-ci : https://www.youtube.com/watch?v=N7R4yefh0ms&feature=youtu.be).
Je réitère aujourd'hui cette démarche, utile et peut-être salutaire en publiant un article de ce médecin André Orluc. Cet article est une THESE.
Une thèse, émana-t-elle d'un sommité, n'est pas l'expression d'une vérité devant laquelle il faut nécessairement s'incliner. Elle est l'expression d'une recherche aussi documentée que possible sur un sujet en vue d'établir la « vérité » sur l'objet de la recherche. Il fallut au XIX ème siècle, tout le génie, la patience et la ténacité de Pasteur, pour réduire au néant la thèse, alors établie, de la génération spontanée des microbes, bacilles et autres virus, alors soutenue par le monde scientifique, et la totalité de l'académie des sciences.
Le docteur André Orluc émet donc, ci-dessous, une thèse dissidente de celle qui, pour l'instant bénéficie des soutiens officiels.
Vous verrez que sa réflexion, qui déborde d'ailleurs le seul aspect médical mérite d'être écoutée et MEDITEE (Le Scrutateur).
(https://www.bvoltaire.fr/reflexions-dun-medecin-dans-la-torpeur-dun-ete-masque-distancie-hebete/ )
Nous sommes bien au-delà de la réalité médico-sanitaire de la pandémie de Covid-19 qui se termine : on comptait les morts quand on n’avait pas de masque, on compte les masques quand il n’y a plus de morts ! On constate une confusion entre « nouveaux clusters/foyers de malades » et dépistage de masse avec des positifs, bien sûr, plus nombreux !
Quiconque essaie de comprendre ce que nous vivons ici, et bien au-delà de nos frontière, voit qu’il se passe un phénomène mondial totalement fou et incompréhensible. Tout le monde subit cet événement planétaire dingue, complètement inattendu, qui échappe à toute logique et va bouleverser et modifier sans aucun doute notre civilisation.
On ne pouvait trouver mieux que la santé pour imposer ce changement de civilisation : le Covid-19 est ce cheval de Troie qui a offert la clef, le sésame donnant accès à un monde nouveau plein de promesses.
En effet, ce thème de la santé mis en avant est génial car il concerne chaque être humain dans son intimité, il fait le lit du délire idéologique prométhéen du transhumanisme (lien homme – machine mêlant médecine, biologie, génétique et technologies) de ces géants aux pieds d’argile, qui nient la réalité, le naturel à travers leurs idéologies souvent folles mais sans perdre le sens des affaires avec des marchés gigantesques.
Le combat sera désormais d’empêcher que la porte ne se referme définitivement sur une humanité l’ayant franchie et qui serait prisonnière de ce monde « orwellien ». On ne pourrait plus revenir en arrière vivre notre humanité pleine de vie et de libertés.
Avec le développement des géants numériques, ces dernières années (GAFAM), la gestion de la crise sanitaire permet d’accélérer une révolution numérique, le contrôle des individus, la numérisation de chaque Terrien, 5G et micro-nano-puces, carnet de santé et vaccins, mais aussi suivi de tous contacts (messages, transactions, déplacements, reconnaissance), le changement des bases monétaires – monnaie universelle numérique – et, bien sûr, l’émergence d’une forme de gouvernance supranationale.
Ce n’est qu’une question de temps… combien ?
Aujourd’hui, en 2020, sur notre belle planète, la porte est donc entrouverte, le verrou a sauté…
Pour agrémenter la sauce des événements contemporains, on rajoutera une bonne dose d’écologie et une confusion avec les mouvements communautaires et idéologiques (racialistes, Black Lives Matter, LGBTQI et autres minorités hyper médiatisées).
Comme dit si bien Éric Zemmour, un peu partout également surgissent des révoltes « populistes » comme « cri des peuples qui ne veulent pas mourir ».
Enfin, comme socle de résistance se lèvent des hommes éclairés sur les périls réels pesant sur notre humanité. Un réveil des chrétiens et des gens du Livre qui représenteront la principale force de réflexion et d’opposition à ce système technico-politique qui veut broyer et manipuler l’humain dans un carcan numérique de l’IA (intelligence artificielle ) toute-puissante. Intelligence technique mais désert de spiritualité.
Un simple virus, guère plus mortel qu’une forte pandémie grippale, a mis notre système mondial à genoux et touché l’humanité masquée distanciée dans sa vie la plus intime, a laissé couler économie, finance, a mis des peuples dans le désarroi et la peur et les a muselés au moyen d’informations et décrets liberticides. Bien moins dangereux que le VIH ou Ebola, le virus n’avait pas de passeport, mais la folie des humains l’a transformé en arme de déshumanisation massive !
Je vous aurais écrit cela, il y a un an, les plus gentils auraient conclu un canular ou un délire passager après une soirée trop arrosée !