2 Août 2020
Je suis Guadeloupéen, non Martiniquais. J'énonce cette précision simplement pour dire que je ne connais pas le personnel politicien de l'île sœur aussi bien que celui de la Guadeloupe. Ainsi de M. Lordinot dont je cite plus bas (2ème lien) un discours tout récent qui formule une vive condamnation des actes de violence iconoclastiques (contre Les destructions des emblèmes de l'ex impétrice Joséphine de Belain d'Esnanbuc, de Victor Shoelscher, etc. M. Lordinot condamne à juste titre ces actes scandaleux comme nous l'avons fait ici même sur Le Scrutateur en nous appuyant sur le bon sens, et les écrits de personnalités africaines de grande envergure. Cela dit ce que je sais de Fred Lordinot, emprunté à quelques amis, et au site Wikipedia, m'incite à une certain réserve.
Si je souscris à l'essentiel de son propos ci-dessous, je ne peux oublier qu'il fut (démagogie, quand parfois tu nous tiens!) un partisan de la thèse anti française, du grand remplacement emprunté à Aimé Césaire. Et aussi du choix (limité il est vrai aux manifestations sportives internationales) du drapeau rouge/vert/noir (couleurs du séparatisme) substitué au drapeau national français : (https://www.rci.fm/martinique/infos/Societe/Le-drapeau-de-la-discorde ).
Il arrive que les petits accommodements accouchent d'enfants mal formés. Il eut fallu réfléchir avant de prendre des postures politiciennes dont on n'avait pas percé à jour les implications malsaines.
Cela dit, les chrétiens n'oublieront pas la parabole du fils prodigue, et les yeux mi-clos, mais teintés d'ironie bienveillante, mais plus qu'attentive, Souscriront à la récente profession de foi du président Lordinot. (Le Scrutateur).
https://www.facebook.com/NikolasShoko/videos/294682835293252/?v=294682835293252