25 Juin 2020
Nous vivons une période animée par la haine, le goût de la destruction, et pour certains que seul mon christianisme inviscéré m'empêche de mépriser, de l'autodestruction.
Face à cela il faut opposer la réflexion, la ferme résolution de garder toujours la maîtrise de soi, le goût de la beauté face au monde de la haine et du ressentiment.
Voici que les nihilistes (pas de couleurs de peau pour les nihilistes. Ces rongeurs sont de tous temps et en tous lieux) inlassables dans leur acharnement à détruire, à ravager, à introduire le désordre multiforme et légionnaire du mal (« je m'appelle légion répond le démon parasite d'un malheureux possédé dont parle l'Evangile) la racaille déclare maintenant, et c'est dans sa logique que la musique classique est raciste, et … blanche, bien entendu !
Il n'existe qu'un seul moyen de répondre à cette forme de sacrilège c'est de donner à entendre, à écouter, à aimer. Là où il y a un cœur d'homme, surgit alors la méditation, et la paix.
Aussi ce matin, je ne publierai pas un texte, mais un morceau de musique.
Oh ce n'est pas un sommet de classicisme, mais un bel air d'une opérette du musicien Franz Lehar.
Puisse t-il vous rendre joyeux et dynamique pour cette journée entière. (Le Scrutateur).
https://www.youtube.com/watch?v=roDeNkSfgWU