4 Avril 2020
Pour parler plus rudement, mais aussi avec plus d'exactitude, l'exécution des vieux dont il s'agit porte un autre nom, c'est celui d'Euthanasie. Déjà Hitler au temps du nazisme avait légalisé cette euthanasie. Le fuhrer ne visait pas seulement les juifs, mais cet aspect du problème est le seul ou à peu près que l'on a retenu aujourd'hui. Et les méthodes de ces gens là étaient brutales mais franches.
L'on fait beaucoup mieux aujourd'hui, du moins quant à la présentation du crime. Comme chacun sait, l'on arrête pas le « progrès », ni le cynisme.
Vous n'avez pas oublié ce que les médias ont appelé « l'affaire Lambert » bassinant l'opinion publique pour lui faire croire que les parents qui s'obstinaient à vouloir garder leur fils en vie étaient d'affreux « cathos » intégristes. Les manipulateurs médiatiques finirent par emporter le morceau.
Aujourd'hui les mêmes profitant de l'angoisse suscitée par la pandémie de Coronavirus, passent, mais en douce, à l'étape suivante la légalisation de l'euthanasie au mépris du serment d'Hippocrate, et des valeurs de la chrétienté que l'on veut entièrement éradiquer alors qu'elles constituent le cœur même de notre civilisation.
Notons, que l'attentat à la vie humaine (au moins les animaux ont-ils leurs associations de défense avec des partisans nombreux, quitte pour ces derniers à les abandonner s'ils deviennent par exemple un obstacle à leur humeur du moment, notamment à la jouissance de leurs vacances) est aussi présente au cœur du dispositif que l'on appelle l'IVG (avortement). Et l'on s'étonne que l'Europe ne fasse plus d'enfants et doive « importer » des migrants en invoquant des principes d'apparence humanitaire.
Ecoutez, plus bas, un discours cohérent, et qui n'est pas tenu par un curé sur la subrepticité d'une méthode frauduleuse pour faire passer en douce des actes criminels pour des actes ordinaires et légaux.
C'est la méthode des LREM. (LS)