7 Avril 2020
Quand Claire Séverac et le Docteur Delépine dénonçaient qu’en matière de santé, c’est l’Etat qui décide pour vous et… contre vous, nous rappelle Média presse info. Peine perdue. On a entendu il y a peu le Dr Delépine dénonçant les petites et énormes combines de la haute autorité du baratin sur Sud-Radio dans l’émission d’André Bercoff, et Claire Séverac n’a cessé de multiplier les publications. Elle nous a quitté aujourd’hui.
Plus près de nous, dans Le Point d’il y a quelques jours, le Professeur Lescure se faisait trompeur, lançant ses impitoyables imprécations contre... tiens ! comme c’est étrange... contre le professeur Raoult !
Petit à petit, de surprise en surprise, on apprendra peut-être des choses aussi invraisemblables que d’hypothétiques attaches intellectuelles, affectives et... financières - un vrai lien de subordination ou à tout le moins de coordination - avec un grand et influent laboratoire américain, qui pourrait s’appeler Gilead, par exemple. Le Professeur Lescure pourrait bien, en plus, ne pas être le seul dans ce cas parmi les voix les plus affairées à orchestrer auprès des médias une propagande d'Etat omniprésente visant à occulter ou à couvrir les fautes et les complicités à fins égotiques ou marchandes du traitement de l’affaire du Covid19. Complicités, collusion ou relations suspectes qui impliqueraient beaucoup des principaux ténors du moment, des collaborations franco-chinoises, l’autorité publique, l’lnserm et son autorité scientifique etc. le tout avec un nombre incalculable d’et cætera qui pourraient également mettre en cause des médias dont l’objectivité des conseillers contractuels pourrait être fortement sujette à caution en raison d’hypothétiques attaches intellectuelles, affectives et... financières - de vrais liens de subordination ou à tout le moins de coordination - avec de grands et influents laboratoires américains, par exemple.
Mais le Professeur Lescure n’est pas le seul à pratiquer le lancement du boomerang français : on parle aussi de M.M. Véran et Salomon dont les jugements passés ont laissé des traces qu’il n’est pas très difficile de retrouver. Bref ! La transparence, c’est plus que jamais l’opacité plus la communication, auxquelles il faut ajouter l’autorité qui permet de frapper d’opacifier les communications passées en brouillant les mémoires de différentes façons dont, comme en Corée du Nord, un excès de communication qui ne procède que du pipeau. C’est ainsi que d’irresponsables coupables espèrent qu’en lançant le boomerang français le plus fort possible il ne reviendra pas. En l’état actuel de la confiance que l’on peut avoir en la justice du pays, il y a d’ailleurs peu de chance qu’il revienne autrement que par tout petits rebonds sur un sol fangeux.
Il faut admettre que la France vit, depuis quelques années déjà, un moment historique. Comme ne cessait de répéter l’oncle Eusèbe, la seule fois où il s’est soûlé - c’était de désespoir : « Je n’ose imaginer la tête de Louis XVI devant pareille bacchanale. »
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