2 Mars 2020
Les César du cinéma sont des récompenses cinématographiques créées en 1976 et remises annuellement à Paris par l'Académie des arts et techniques du cinéma — ou Académie des César2 —, à des professionnels du 7e art dans diverses catégories pour saluer les meilleures productions françaises
La plus récente de ces « cérémonies » s'est tenue le 29 février il y a deux jours.
Dans le monde du cinéma, dont beaucoup disent qu'il baisse de plus en plus quant à l'esprit et au talent, une actrice atteinte sans doute de connardo-virus, une certaine actrice nommée « Aissa Maiga aura été cruellement atteinte de divagations délirantes. Lors de la cérémonie, elle a interprété un étrange numéro de racialisme particulier. Celle-ci s'est livrée à la computation des noirs se trouvant dans l'enceinte de la salle Pleyel. On imagine le sort du particulier qui compterait le nombre de noirs lors des violentes émeutes congolaises Gare de Lyon » !!!
Le Scrutateur se serait passé d'évoquer ces propos médiocres s'il n'avaient émané d'un produit de cette « France » qui, marginal en d'autres temps, est portée aux nues par les adeptes de l'abaissement et l'abrutissement de notre pays.
Aissa Maiga, comme par ailleurs une Rokaya Diallo, dont nous aurons à reparler, fait partie de la côterie de ces gens qui nés ailleurs (en Afrique en l'occurence) dispose de papiers d'identité qui ne font pas de leurs propriétaires des Français à part entière.
Être Français, quelle soit notre couleur, ce n'est pas par la possession d'une carte d'identité, mais par l'appartenance historique et CULTURELLE à la nation, et de ce fait la faculté de sentir en Français, d'agir et de réagir en qualité fils ou fille d'une très vieille, et précieuse culture.
Or madame Maiga, tout comme madame Diallo et quelques autres, appartiennent à cette catégorie de parasites portés aux nues par les adeptes d'un tout-monde qui veulent le nivellement des vieilles vielles civilisations et la création d'entités sans foi ni loi peuplées d'entités, - telles les habitants du Meilleur de mondes d'Huxley - aisément manipulables par ces manipulateurs au mieux de leurs intérêts de financiers sans sans scrupules, tel le sieur Soros.
Je crois qu'il est important de comprendre que si de tels agissements, d'un racisme (anti blanc aussi suaves que provocateurs) n'étaient pas stigmatisés et sanctionnés comme ils le méritent finiraient par susciter dans nôtre beau pays des réactions bien compréhensibles d'auto défense. Et « l'antiracisme » de ces « racisés » (pour employer leur jargon) aurait abouti au contraire du but qu'ils prétendent poursuivre.
Les deux articles qui suivent illustrent mon propos.
J'appelle à la lucidité et au courage, car seules ces vertus peuvent nous éviter le pire.
Le premier émane de maître Goldnadel. Le second de Nadine Morano qui, une fois de plus aura trouvé les mots justes pour qualifier les connarderies de ces gens. (LS).
I ) Goldnadel : le “connarovirus” a frappé de plein fouet les Césars
Dans son éditorial hebdomadaire, l'avocat Gilles-William Goldnadel revient sur la cérémonie des Césars vendredi soir, et sur la démonstration de politiquement correct à laquelle elle a donné lieu.
J’ai détecté une maladie contagieuse : le Connarovirus, infiniment plus violent et virulent que le Coronavirus.
La semaine qui vient de s'écouler aura fait de nombreuses victimes. Sans doute pour des raisons de concentration de populations à risques, le virus méchant aura frappé violemment vendredi soir la cérémonie des Césars. Ainsi, l'actrice Aissa Maiga aura été cruellement atteinte de divagations délirantes. Lors de la cérémonie, elle a interprété un étrange numéro de actrice Aissa Maiga aura été cruellement atteinte de divagations délirantes. Lors de la cérémonie, elle a interprété un étrange numéro de racialisme particulier. Celle-ci s'est livrée à la computation des noirs se trouvant dans l'enceinte de la salle Pleyel. On imagine le sort du particulier qui compterait le nombre de noirs lors des violentes émeutes congolaises Gare de Lyon.racialisme particulier. Celle-ci s'est livrée à la computation des noirs se trouvant dans l'enceinte de la salle Pleyel. On imagine le sort du particulier qui compterait le nombre de noirs lors des violentes émeutes congolaises Gare de Lyon.
En réalité, quand on compte, on n’aime pas.
La seule injustice véritable autant qu'incontestable dont souffre cette actrice réside seulement dans son manque de talent et d'humour. Elle ne devra pas y voir autre chose que cette cruelle carence, lorsqu'elle ne sera pas sélectionnée dans un casting. C'est déjà une consolation. Précisons que l'intéressée n'a pu être célébrée compte tenu de la gêne qu'aura généré son étrange prestation au sein d'une assemblée pourtant a priori très réceptive à la bêtise. Le morceau de bravoure aura atteint son apogée lorsqu'elle aura voulu comptabiliser Vincent Cassel parmi les « renois » sous le prétexte semble-t-il que celui-ci avait interprété le rôle d'une racaille dans le film la Haine.
L'acteur talentueux, mais semble-t-il blanc chromatiquement, n'a pas fait semblant d'apprécier le compliment.
Le Connarovirus semble également avoir méchamment affecté Mlle Adèle Haennel. Les symptômes constatés valident notre diagnostic pessimiste : celle-ci, en effet, en sa qualité de victime putative d'un viol ancien par un metteur en scène dans la dénégation, n'a pas hésité à déclarer dans les colonnes ouvertement bienveillantes du New York Times : « On doit croire toutes les femmes qui parlent. Dès qu'une femme a moins de pouvoir qu'un homme, on la soupçonne de vouloir se venger. On a rien à gagner à se dire victime et les conséquences sur la vie privée sont très négatives. »
Autant pour l’homme que pour l'avocat qui isole aujourd'hui le virus virulent, la phrase de la comédienne représente une abomination. Écrivons-le sans ambages, ni complexes, ni circonlocutions : Il est des hommes coupables, il est des hommes innocents. Il est des femmes victimes, mais il est aussi des femmes menteuses, mythomanes, vénales ou vengeresses. Affirmer le contraire dans un a priori aussi inepte que sexiste fait le lit à de nouveaux Dreyfus.
Et précisément, l'actrice aura été doublement frappée du Connarovirus en désertant cinématographiquement la scène de Pleyel à l'annonce de la récompense attribuée à l'auteur de J’Accuse.
On peut parfaitement être sévère envers Romain Polanski, ne serait-ce que pour avoir fui la justice américaine sans pour autant jeter le discrédit sur un film manifestement plébiscité par ses pairs. Il aurait dû être à la portée d'une actrice fut-elle frappée par le virus virulent du conformisme — définition scientifique du Connarovirus — de comprendre que célébrer l'artiste n'est pas honorer l'homme.
Quoi qu'il en soit, le symptôme le plus effrayant de la manifestation virale aura été incarné par la différence de traitement littéralement infernale entre un Polanski diabolisé et un Ladj Ly béatifié en dépit d'une condamnation pénale portant précisément sur le mauvais traitement des femmes.
De même, le virus virulent semble avoir tétanisé toute réaction lorsque l’équipe des Misérables au grand complet s'est trouvée sur la scène et qu'on n'a pu dénombrer la moindre femme. Il semblerait que le manque de diversité ne puisse donc être reproché qu’aux mâles blancs exclusivement.
Le mal court. Et ce virus du conformisme virulent est mortel.
César : Nadine Morano propose à l'actrice qui comptait les “noirs” dans la salle de “repartir en Afrique”