3 Décembre 2019
Monsieur Delevoye vient de déclarer qu'aucune réforme, celle des retraites, de l'économie en général, en France, mais aussi dans toute l'Europe, ne sera possible sans l'arrivée « de cinquante millions d'immigrés ». Qui donc me direz-vous ? Je l'ai dit, M. Jean-Paul Delevoye, qui est venu des LR, a rallié Macron après avoir trahi Fillon, et servi Hollande.
Ce pedigree manque de noblesse et d'allure certes. Mais même un politicien peut s'interroger sur l'utilité de heurter l'électorat sur ce point capital de l'immigration à la veille d'élections. Mais pas le Delevoye. Dès lors les gens, de plus en plus nombreux commencent à ouvrir les yeux sur cette question capitale.
Avec bien d'autres (sur le plan national) le Scrutateur poursuit son travail de réflexion . C'est dans cette optique que je publie ci-dessous ce document d'un militant musulman Elia d'Imzalem, qui a le mérite d'une franchise à vrai dire surprenante. Mais pourquoi ces gens se modéreraient-ils quand dans le sérail de « l'élite » française (rions mes frères) ils disposent de soutiens comme un Delevoye.
Le texte de l'envahisseur déclaré est si clair que je le donne sans commentaires.
Sauf un, toutefois.
Celui-ci. Après avoir refusé toute assimilation à la civilisation française l'Elias d'Imzalène déclare (dans un esprit qui reflète d'ailleurs la pensée marxiste, davantage que l'orthodoxie musulmane) que toute « liberté d'expression est celle de la caste dominante » dont Zemmour serait le porte-parole. Et poursuit-il « n'oublions jamais que la démocratie occidentale est moins la liberté totale qu'une dictature de la loi ».
Sans entrer dans de longues considérations philosophiques, notons seulement que pour le d'Imzalène, la démocratie est moins la liberté totale qu'une dictature de la loi ».
Un exemple tout simple : tenons nous-en au code de la route. Il est clair que si cet ensemble d'obligations et de contraintes n'existait pas, qui oserait circuler en automobile, ou par tout autre moyen. La rigueur de la loi étant garante de la sécurité et de la liberté d'aller et de venir.
Si imparfaite (mais réformable et révisable) que soit la loi en France (et en Europe), je préfère notre système à celui des théocraties islamiques.
Lecteurs, mes amis, il est peut-être temps de donner leur congés à ceux qui présentement sont censés nous représenter.
Mais il faut développer en nous et autour de nous le discernement, et le courage, faute desquels nous sombrerions dans un esclavage (d'ailleurs mérité). (LS)
( Noter que la transcription de l'article a été difficile faute d'un matériel tout à fait adéquat. Le lecteur fera je l'espère le petit effort de déchifrement nécessaire. Le temps me manque pour corriger les imperfections technique. Le temps et ... la vue!).
Elias d’Imzalène
« J’en appelle à l’élaboration d’une théologie de la résistance au pouvoir du pays »
Elias d’Imzalène est l’un des hommes à l’origine des manifestations contre
la présence d’Êric Zemmour à l'antenne de CNt’H’S. Se présentant comme le
fondateur d’Islam et Info, il déclare aussi n'avoir aucune fonction religieuse,
mais assume être un militant musulman et conseiller de personnalités
politiques, parmi lesquelles des maires et des conseils départementaux.
Curieux d’aller à la source, nous avons voulu estimer l’état des forces au sein
de la communauté musulmane vivant en France. Sans filtre, son propos ne fait
pas mystère de ses convictions: pour lui, l'islamophobie n’est rien d’autre que
tout ce qui « entrave le développement de la communauté musulmane ».
Un programme qui a, au moins, le mérite de la clarté et de la franchise. Un
programme qui appelle à l’installation permanente d’une communauté
musulmane organisée et séparée, refusant l'assimilation à la communauté
nationale majoritaire française d’origine européenne. La classe politique en
a-t-elle bien conscience ? Voilà peut-être de quoi la déciller.
C oimiiciiyons pur le coiiniicnccniciir : pourquoi iisoir organise la pn»icMMiut> contre ta présence d’I rie Zemmour Mtr t New» ? < omidérez- vous qui va liberté dVsprvssiun vuiil moins que U voirv ?
L'organisation de cet événement 4 ete le tait du ta» •emblement de differente* volonté» de ce qu'on pourrait appeler la ~ société civile mutulmatic -, crnuc et indigner par le» propos d’Eric Zemmour itan» un contexte global clairement islamophobe Moniteur Zemmour n'est pas simplement un »ymp tiime de ce climat idamophobe, de cette déferlante Il en est aussi le symbole et le porte-parole Je crois que le» musulmans et le* indigne» devaient »e dre» ver, d’ou qu’il» viennent, et taire iront commun poui dénoncer l’impunité dont il fouit de la part de» pou voir* publics et de la justice Nous nous devions .hum de dénoncer la complicité de CNews et de monsieur Bolloré
l'our moi, la liberté d expression est toujours condi ttonnée Mou» appartenons tuuiviu» a un momie réel qui » impose à noua thi tait que la liberté ne Murait être absolue que dans un momie onirique, nous obéissons a cette réalité mai» aussi a de» présuppose» sociaux, hérite» de notre éducation, de no» milieux sociaux
Pour sortir de notion» abstraite», je croi» que bien courent la liberté d expression est celle de la caste dominante, à laquelle Eric Zemmour appar tient Et n'oublions jamais que la démocratie occi dentale est rnoui» la libeite totale qu une dictature de la loi
Que reprochez vous «merétemeni n I rie Zemmour * Quant! il lait h cmist.it tic la non assiniituliori des iiiutiiurv» de ciilltirv et de religion niuMilniaiics en I mitée, il dit pourtant très cvwclcmcnt lu même chose que \assine Bcllainr qui a isRIrnié que les iiiiisulm.ms « n'etutenl /»>< dum un proie» d’asstmtliiimn »
Je ne »an pa« si Éric Zemmour et Vassme Bellatar font te même Constat l'entends simplement qu Eau Zemmour a du ma! à vivre dans le pays réel, lui pré terant le pays legal hérité du ( "ode Napoléon et de la tlF République Eric Zemmour voudrait vivre dan» la Franc* de papa, votre du grand père, avec comme livre saint la Constitution de U V République la Constitution n'est pas sacrée, elle n’est pas la Bible, ni le Coran Quant a la société tram,ju»e, elle a pro fondement changé avec ( immigration de nouvelle» populations. Cette évolution n'a pa» ete prix* en compte par la loi, par la constitution, l e pouvoir politique » tait venir de» gens en sachant tre* bien qui il» étaient de quel» pays et i quelles culture»