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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Après Macron dans Valeurs Actuelles, François Hollande se dévoile pour le Scrutateur.

Après Macron dans Valeurs Actuelles, François Hollande se dévoile pour le Scrutateur.
Après Macron dans Valeurs Actuelles, François Hollande se dévoile pour le Scrutateur.

Après Macron dans Valeurs Actuelles, François Hollande se dévoile pour le Scrutateur !

 

https://www.challenges.fr/politique/entre-autosatisfaction-et-petites-blagues-le-show-de-francois-hollande-a-la-sorbonne_682430

 

Qui sait si derrière chaque grenouille il n’y a pas un éléphant qui cherche à s’exprimer ?C’est l’un des petits secrets de la théorie du genre. Et de François Hollande-Groland également, l’homme qui tient les Français en haleine depuis qu’ils ont oublié qu’ils avaient voté pour lui en 2012 comme il se seraient tirés une balle dans le pied uniquement pour sécher leur rendez-vous chez le pédicure pour regarder un match à la télé.

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« Moi, président de la République (demain) », j’étais d’une maigreur à faire peur, je m’étais fait la silhouette du type qui en bave, je m’étais même affublé d’une connasse doublée d’une emmerdeuse pour bien montrer que j’étais un type normal et que le rôle de président de la République m’était étranger. Et puis les temps changent, l’automobile aussi, mais pas l’autosatisfaction. 

 

« Moi, président de la République (hier) », j’ai tout foiré. Du coup j’ai commencé à enfler, pour bien montrer aux Français que je les emmerde, que je fais ma graisse sur leur bêtise, que j’ai de quoi me taper la cloche jusqu’à la fin de ma vie et que ma façon de leur dire « merci pour ce moment », c’est de continuer à me foutre de leur gueule jusqu’à ce qu’ils n’en puissent plus. Moi j’m’en fous, j’ai tout mon  temps : je vis sur la bête - sur la bêtise de ceux qui veulent bien, en tout cas - et comme j’aime bien les p’tites blagues et les gros défis (Président de la République, c’est pas rien, tout de même), je fais le pari de leur faire gober que je suis même le meilleur ; une vraie chance pour la France, et je m’en vais te les chignoler kilo après kilo pour bien leur montrer que la vie c’est pas qu’un fauteuil de première classe dans l’avion qui te mène au Paradis. Moi, pendant c’temps-là, j’vois pas l’temps passer, j’ai pas une seconde pour m’emmerder. Le ciel, c’est les autres, quoi ! De vous à moi, c’est la recette du socialisme. C’est presque une question de mantra. Comme dirait François-le-Fécal aux parents Pingeot : faites-moi confiance ! pourquoi s’emmerder quand on peut emmerder les autres ? Alors, faites-moi confiance ! Nous seulement je vous étonnerai, mais vous vous étonnerez aussi : quand vous découvrirez à quel point vous êtes cons. Et à quel point je le suis moi aussi aussi. Sauf que moi, j’suis un malin. 

 

Vous comprenez le français ? Eh bien moi aussi. Et les Français, j’les comprends encore plus. Avec une bonne provision de baratin on en fait c’qu’on veut. Le plus drôle, c’est que quand un Ravaillac se lève, c’est pour se tromper de cible. Tenez, prenez Robespierre ! Pour éliminer les honnêtes gens, rien ne vaut un bon socialo qui vous enfume avec son populisme intello-écolo pour mettre le populo en coupe réglée. François-le-Fécal, pareil ! Alors j’vais vous donner une p’tite recette qu’on enseigne à l’ÉNA : comme les Français passent leur vie à se tromper, vaut mieux les tromper scientifiquement. Les Français sont encore assez cartésiens pour être fichus de vous prendre pour un grand homme après. Conseil de François... l’éléphant. 

 

Et maintenant, j’vais vous dire pourquoi les Rosbifs appellent les Français froggies. L’explication est dans une certaine fable de La Fontaine. Même que depuis, ils ont essayé de nous faire le coup des vaches folles, nos amis Anglais. Mais y z’ont rien compris, les Rosbifs : nous, les socialos, on n’est pas des bœufs. On est des Danton : de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace. C’est pas demain qu’une nana ou qu’un mec un peu lucide va dire : des godasses, encore des godasses, toujours des godasses pour leur botter le cul. Il s’agit de notre popotin à nous, les socialos, vous l’aviez compris. Regardez le RPR, tout ce qu’ils ont été foutus de faire jusqu’à présent, c’est de s’appeler UMP, et maintenant LR. Demain ce sera peut-être L.V., La Vache qui rit ? Ah ! La théorie du genre ! Pour se donner un genre, y’a pas mieux, et puis à force de forcer le trait, les grenouilles arrivent à faire des bouses d’éléphant. Il suffit d’un peu de persévérance. Ça c’est Chirac qui m’l’a dit. Un jour, en Corrèze.  

 

Vous voyez qu’on a encore plein de choses à se dire. « Moi, président de la République », c’est tout un programme, non ? Avant, c’était Valérie qui conduisait, maintenant c’est Julie. J’lui ai promis, et la parole, chez moi, c’est sacré. Allez, le changement c’est maintenant. D’ailleurs vous voyez, je n’ai pas changé. Bientôt on  m’appellera Julot  Ayuntamientos (si les parents de Julie arrivent à m’amener devant Monsieur le maire), et vous... à l’Élysée. Ça f’rait tellement plaisir à Julie.


 

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